Quelles sont les heures d'ouverture ?

Lundi 07:30 - 19:30 Mardi 07:30 - 19:30 Mercredi 07:30 - 19:30 Jeudi 07:30 - 19:30 Vendredi 07:30 - 19:30 Samedi 07:30 - 18:30

Pharmacie du Centre - Perin, 65 Boulevard Rougé, Le Moule (2025)

25/02/2025

: Comment soulager les poussées dentaires de votre enfant ?

Dès ses 6 mois, les premières de votre vont apparaître. Certains enfants naissent avec une ou deux dents. Dans d'autres cas, les premières poussées n'arrivent qu’à l’âge de 14 mois.

Généralement, à 3 ans, les 20 dents primaires sont sorties. Puis, les 32 dents d’adulte se développent dans les mâchoires et apparaissent entre 6 et 12 ans.

La poussée des dents peut être à l’origine de douleurs dues aux mouvements des dents dans l’os de la mâchoire, ou lors de leur passage à travers la gencive.

Les signes sont variables d’un enfant à l’autre et d’une dent à l’autre :

- salivation abondante
- sommeil perturbé
- fièvre ne dépassant pas 38°C
- irritabilité
- joues rouges
- un peu gonflées : bulle bleue sur la gencive
– un « kyste d’éruption », annonçant la percée d’une dent

Comment soulager bébé ?

Il n'existe pas de traitements mais des moyens simples pour soulager l’inconfort.

Frottez-lui doucement les gencives avec une débarbouillette imbibée d’eau froide enroulée autour de votre doigt.

Donnez-lui un anneau de dentition en caoutchouc. Choisissez-en un qui est incassable, qui ne s’effrite pas et qui est assez gros pour ne pas pouvoir pénétrer entièrement dans la bouche de votre bébé.

Évitez également le collier de noisetier ou d'ambre, car le bébé risque de s’étouffer si des billes se détachent et leur efficacité reste à prouver.

Ne donnez pas non plus à votre enfant des morceaux de légumes ou de fruits crus « durs » (pomme, carotte, céleri, etc.) avant l’âge de 2 ans afin de prévenir les risques d’étouffement.

Les biscuits de dentition sont également déconseillés en raison du sucre qu’ils contiennent pouvant causer des caries dentaires.

Les gels analgésiques topiques sont aussi à éviter car ils agissent de façon superficielle et risquent de nuire à la capacité du bébé d’avaler.

+ d'infos : urlr.me/9zSsVQ

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Source Vidéo : La Maison des Maternelles

22/02/2025

: Comment limiter la prise de poids à la Ménopause ?

Très souvent, à la , les femmes prennent du poids. La moyenne est de 500 g par an pendant 4 à 5 ans. Mais certaines femmes prendront 1,5 kg par an, tandis que d'autres pas du tout.

Les facteurs de risque à la prise de poids sont :
- Surpoids avant la ménopause
- Forte prise de poids pendant la grossesse
- Membre de la famille en surpoids
- Antécédent familial de diabète de type 2

En cas de prise de poids très rapide, il est nécessaire de modifier son mode de vie et sa façon de s'alimenter.

Avec l'avancée en âge, le métabolisme se ralentit et si les apports caloriques ne diminuent pas, l'organisme se retrouve obligé de stocker le surplus, tandis que la masse maigre (les muscles) tend à chuter au profit de la masse grasse.

Mais il existe aussi une explication hormonale directement attribuable à la carence en oestrogènes qui s'accompagne d'une modification de l'appétit et d'un changement dans la répartition des graisses qui viennent progressivement s'installer sur le ventre (potentiellement évitable avec un traitement hormonal substitutif de la ménopause).

Bouffées de chaleur, chute de cheveux, fatigue, sautes d'humeur, baisse de la libido... la ménopause peut débuter entre 40 et 45 ans mais touche majoritairement les femmes à partir d'une cinquantaine d'années.

Les premiers symptômes qui apparaissent sont : une prise de poids, des troubles du sommeil, des cycles irréguliers et un syndrome prémenstruel accentué.

La ménopause sera officiellement déclarée au bout d'un an d'absence de .

Conseils aux femmes ménopausées pour ne pas prendre de poids :

- Bouger plus afin d'augmenter ses dépenses énergétiques.

- Privilégier les légumes et les féculents. Peu caloriques, ils aident à satisfaire l'appétit et diminuent les envies de grignoter.

- Manger du poisson et de la viande maigre pour maintenir la masse musculaire.

- Privilégier les aliments riches en oméga-3 : poissons gras (sardines, saumon), huile de colza, huile de noix...

- Diminuer les sources d'oméga-6 et d'acides gras trans : produits industriels, friture, panure, viennoiseries...

- Privilégier les desserts peu gras : yaourt nature sucré avec une cuillère de miel ou de confiture, salade de fruits...

- Prendre une collation dans l'après-midi si nécessaire mais ne pas grignoter.

+ d'infos sur la ménopause : bit.ly/2JgTPDH

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19/02/2025

: Mal de tête ou Migraine, comment les différencier ?

Chacun peut souffrir d’un petit mal de tête. Mais si les douleurs reviennent régulièrement, il peut s’agir d’une vraie migraine ou d’une céphalée chronique. Comment faire la différence ?

La plupart du temps, les maux de ne sont pas graves. Bien que la sensation soit très désagréable, le cerveau n’est pas endommagé. Mais des douleurs intenses et répétées peuvent vous gâcher la vie.

La Société internationale des céphalées distingue plus de 200 formes différentes du mal de tête. Pour en faciliter le diagnostic, elle a établi une classification internationale.

Une est juste un mal de tête. Il peut y avoir plein de raisons (choc…) mais une céphalée peut aussi intervenir sans raison.

La migraine en revanche est une maladie, une vraie maladie qui se manifeste par la répétition des crises. Il y a une douleur, le fait qu'elle soit unilatérale est facultatif.

La céphalée ou mal de tête correspond à toute plainte douloureuse centrée sur la région crânienne. C’est un mal fréquent qui concerne près d’une personne sur deux âgée de plus de 15 ans.

Elle est souvent ponctuelle et de courte durée, environ deux heures ou moins chez 46% des personnes. Le mal de tête se distingue selon son mode de survenue, la localisation de la douleur, l’intensité ou encore la durée.

Les maux de tête peuvent aussi traduire une . C’est une maladie bénigne avec ses caractéristiques spécifiques. Elle se manifeste notamment par des maux de tête qui surviennent par crises de 4 à 72 heures.

C’est un phénomène neuro-vasculaire lié à une prédisposition génétique, qui se caractérise par l'inflammation des neurones et une dilatation des vaisseaux cérébraux, notamment des artères des méninges. L’inflammation et la dilatation sont provoquées par une stimulation nerveuse.

Pour savoir si l’on est concerné, il faut avoir eu au moins cinq crises et avoir présenté au moins deux de ces symptômes au cours de chaque crise :

- Une douleur localisée d’un côté de la tête
- Une douleur lancinante ou battante
- Une douleur exagérée par l’effort ou par les activités habituelles
- Une douleur modérée ou sévère

Une crise migraineuse comprend aussi un de ces symptômes :

- Des nausées
- Des vomissements
- Une intolérance à la lumière (photophobie) ou au bruit (phonophobie)

Les facteurs déclenchants d'une crise migraineuse sont multiples, allant du changement du rythme de vie, comme un excès ou un manque de sommeil, un repas sauté, à la consommation de certains aliments ou excitants.

Si les maux de tête deviennent récurrents et/ou sont difficiles à supporter, il est conseillé de consulter son médecin traitant. Il pourra diagnostiquer une éventuelle migraine et prescrire un traitement.

+ d’infos : urlr.me/UjGFuq / urlr.me/NS6rRe

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16/02/2025

: Comment adapter son alimentation pendant la grossesse ?

Les besoins nutritionnels lors de la grossesse sont bien spécifiques : les besoins en énergie augmentent dès le 2e trimestre et surtout lors du 3e et des besoins spécifiques apparaissent : besoins supplémentaires en fer, en calcium et en vitamines...

L'apport énergétique par l'alimentation ne doit pas être inférieur à 1 600 kcal/jour au risque d'avoir une répercussion sur la croissance du fœtus.

Pour couvrir les besoins nutritionnels, l'alimentation doit être diversifiée et équilibrée.

On conseille une prise de poids d'environ 12 kg (entre 9 et 15 kg), cela favorise une grossesse et un accouchement sans complications de même qu’un retour plus aisé à votre poids antérieur.

Une équilibrée, c'est manger :

- Cinq fruits et légumes par jour
- Du pain, des céréales et d'autres sucres lents (légumineuses) à chaque repas selon votre appétit
- Des produits laitiers trois fois par jour
- Des protéines (viande, poisson ou œufs), chaque jour
- De l'eau à volonté
- Mangez de façon régulière

Il est important également de limiter sa consommation de matières grasses, de sel et de produits sucrés.

Pour éviter les fringales et les petits creux, ne sautez pas de repas et prenez un bon petit déjeuner. N’hésitez pas également à prendre un goûter, cela vous permettra d’éviter les repas copieux et le grignotage qui peuvent vous faire trop grossir.

Durant votre grossesse, certains aliments sont à privilégier pour apporter tout ce dont vous et votre bébé avez besoin.

Quels sont les besoins spécifiques ?

Les folates ou vitamines B9 :

Les vitamines B9 joue un rôle essentiel dans la croissance de votre .
Pendant les premières semaines de la grossesse, ils jouent un rôle important dans le bon développement du système nerveux de l’embryon.

Le calcium et la vitamine D :

Le calcium est essentiel pour la construction du squelette de votre bébé, surtout au cours du troisième trimestre.
La vitamine D, essentiellement fabriquée par l'organisme sous l'action des rayons du soleil sur la peau, facilite l'absorption du calcium.

Le fer :

Le fer est indispensable, surtout en fin de pour éviter tout risque de carence responsable d'anémie.
Vous le trouverez dans les légumes secs, le poisson, la viande.

La consommation de certains aliments durant la grossesse peut représenter un risque pour la femme enceinte et le bébé à naître (ex. : fausse couche, accouchement prématuré, infections).

Pour cette raison, évitez de consommer des oeufs crus ou à peine cuits, des produits laitiers non pasteurisés, des fromages à pâte molle, des fruits et des légumes frais non lavés, du poisson et des fruits de mer crus, de la viande pas assez cuite, du foie, de l’alcool…

+ d'infos : urlz.fr/py3S / urlz.fr/py4w

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13/02/2025

: que faire en cas d'intoxication alimentaire ?

L'intoxication alimentaire fait suite à la consommation d’un ou de plusieurs aliments contaminés par une bactérie telle que E. coli, la salmonelle ou Listeria.

À savoir que ces aliments peuvent avoir été en contact avec la bactérie avant, pendant ou après la préparation d’un plat, à cause d’un problème de cuisson, de conservation ou de nettoyage des aliments.

Une intoxication alimentaire se manifeste le plus souvent par :�

- nausées, voire des vomissements
- crampes et douleurs abdominales
- diarrhée
- déshydratation
- fatigue intense
- mal de tête�
- fièvre.

Les symptômes disparaissent complètement au bout de quelques jours (72 heures maximum). Ce délai dépassé, il sera conseillé de consulter rapidement un médecin. La gastro-entérite dure plus longtemps (entre 2 jours et une semaine environ).

Pour se remettre rapidement d’une intoxication alimentaire, il faudra privilégier des plats simples et peu assaisonnés : pommes de terre vapeur, semoule, riz blanc, viande maigre type dinde ou poulet, poisson cuit, pâtes, ou encore soupe.

Pendant et après une intoxication alimentaire, il est généralement recommandé de faire attention aux produits laitiers car ils peuvent eux aussi être difficiles à digérer et aggraver les symptômes gastro-intestinaux.

Veiller donc à boire beaucoup d’eau et/des solutions de réhydratation orale pour compenser les pertes liquides provoquées par les vomissements et/ou diarrhées.

Des antidouleurs pourront aussi aider à soulager les maux de ventre ou maux de tête.

L’intoxication alimentaire peut être prévenue grâce à quelques conseils :

- Éviter de consommer un aliment dont la date de péremption est dépassée

- Éviter de rompre la chaîne du froid (Veillez à ne pas congeler un aliment qui a déjà été décongelé, et prévoyez une glacière ou un sac de congélation pour transporter les produits frais)

- Bien lire sur l'emballage la température à laquelle le produit doit être conservé

- Se laver les mains avant de toucher les aliments et entre chaque manipulation de produits différents

- Éviter les aliments crus (en particulier les viandes et les poissons)

- Jeter les boîtes de conserve bombées/dont le contenu a un aspect ou une odeur anormale

- Ne pas consommer des eaux non potables

- Nettoyer soigneusement les plans de travail et aliments

Enfin, porter une attention particulière à la cuisson des aliments. Pour les viandes comme le porc ou le poulet, vérifiez qu’elles soient bel et bien cuites à cœur avant de les consommer.

+ d'infos : urlr.me/ZMJBtn / urlr.me/F7q9nU

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10/02/2025

: Les différentes formes d'épuisement professionnel

L'épuisement professionnel est un phénomène qui affecte un grand nombre de travailleurs, quelque soit leur profession ou leur secteur d'activité.

Il peut se manifester sous différentes formes, chacune ayant des conséquences physiques, mentales et émotionnelles distinctes.

Le est le plus connu mais n'est pas reconnu à ce jour comme une pathologie médicale, alors même qu'il donne lieu à des symptômes importants souvent assimilés à de la .

Son diagnostic reste complexe car ses manifestations sont propres à chacun d'entre nous (tristesse ou absence totale d'émotion), et peuvent se rapprocher d'autres troubles psychiques ou maladies.

Il existe 2 types de burnout :

- Burnout moral : se produit lorsque vous êtes confronté à des situations qui contredisent vos valeurs et vos principes moraux. Il peut entraîner une perte de sens et de but dans votre travail, ainsi qu'une détérioration de votre santé mentale.

- Burnout physique : forme d'épuisement professionnel qui résulte d'une surcharge de travail physique. Il peut entraîner une fatigue extrême, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une augmentation du risque de blessures.

Le dû à un travail chronophage, de mauvaise répartition des tâches ou des missions peu stimulantes peut amener à se sentir dévalorisé et stressé.

En grandissant, cette souffrance nous entraine à développer des habitudes palliatives, telles que le grignotage, l'excès de tabac ou encore le recours à l'alcool, ce qui implique un risque 2 à 3x plus élevé d'accidents cardiovasculaires qu'un salarié dont l'emploi est stimulant.

Le est la conséquence d'un manque d'épanouissement au travail, du sentiment de réaliser des tâches chronophages et inutiles.

La est un autre type d'épuisement professionnel qui se manifeste lorsque vous traitez les autres comme des objets plutôt que comme des personnes.

La diminution de la réalisation personnelle se produit lorsque vous avez l'impression que vous n'êtes plus capable de faire votre travail efficacement. Cela peut être dû à un manque de soutien de la part de votre employeur, à une surcharge de travail ou à un manque de motivation.

Il est important de reconnaître les signes d'épuisement professionnel et de prendre des mesures pour y remédier, que ce soit en cherchant du soutien de la part de ses proches, en consultant un professionnel de la santé mentale ou en prenant des mesures pour améliorer son environnement de travail.

N'hésitez pas à venir en parler à la .

+ d'infos : bit.ly/3nhJnju

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07/02/2025

: Quels sont les bienfaits du curcuma ?

Largement utilisé dans les recettes et les cuisines de nombreux pays, le curcuma est souvent surnommé "l’or jaune" ou "l’épice d’or".

La raison ? En consommer aurait bon nombre de bienfaits, notamment grâce à ses propriétés digestives, antioxydantes et anti-inflammatoires.

Une fois récolté, le curcuma ressemble à la racine du gingembre. Tout comme cette autre plante réputée pour ses vertus médicinales, le curcuma se consomme frais, ou bien séché et réduit en poudre pour devenir une épice.

En Inde, le est d’ailleurs considéré comme une épice sacrée, utilisé à la fois comme épice et comme plante médicinale. Ce qui explique pourquoi on le retrouve dans de si nombreuses recettes originaires du sous-continent indien.

Quels sont les bienfaits ?

1. Des vertus antioxydantes et anti-inflammatoires

Une large étude publiée dans la r***e Foods en 2017 s’est particulièrement intéressée à l’ensemble des bienfaits supposés du curcuma. En effet, ses propriétés sont bien réelles, grâce à ce fameux ingrédient actif, la curcumine.

La curcumine permet notamment de neutraliser les radicaux libres uniquement grâce à sa structure chimique. Ce qui aide à lutter contre de nombreuses maladies ainsi qu’à ralentir le vieillissement cutané.

2. Une digestion optimale

Avec le curcuma, fini les maux d’estomac et les ballonnements.

Une étude datant de 2004, publiée dans le Journal of Alternative and Complementary Medicine, a permis de lier la consommation de curcuma à une réduction des symptômes du syndrome du côlon irritable.

3. Un aliment bon pour le cerveau

Le facteur neurotrophique dérivé du cerveau est une protéine qui joue un rôle important dans la mémoire, l’attention et l’apprentissage, qui se retrouve particulièrement dans des aliments comme le thé vert, l’huile d’olive ou… le curcuma.

Un nouvel atout dans la manche du curcuma, qui permet de freiner l’apparition de la dépression et de ret**der la diminution des fonctions cérébrales liées à l’âge.

4. Réduit le risque de maladies cardiovasculaires

Concernant les maladies cardiaques, les conclusions d’une étude chinoise menée en 2017 ont permis de déterminer que la curcumine améliore le fonctionnement de l’endothélium, la micro-couche qui tapisse les vaisseaux sanguins et permet ainsi de réguler la pression artérielle, la coagulation sanguine ou l’oxydation. Que du bon pour le cœur.

Attention : le curcuma n'est pas recommandé pour tous.
Cette épice est notamment déconseillée aux personnes enceintes ou souffrant de pathologies des voies biliaires, des reins, de diabète ou de carence en fer.

+ d’infos : urlr.me/VnaxYK

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04/02/2025

: Cancer - se faire dépister tôt pour mieux guérir

Comme chaque année, le 4 février marque la journée mondiale de lutte contre les cancers qui restent la première cause de décès.

Lorsqu’il est détecté précocement, un cancer se guérit mieux avec des traitements généralement moins lourds. Plus de , c’est donc une meilleure qualité de vie et des décès par cancers évités.

Quand on pense au , on évoque souvent la fatalité, l’âge, les risques héréditaires ou l’environnement. Mais en réalité, 40% des cancers sont liés à nos modes de vie et pourraient donc être évités.

POUR RÉDUIRE VOTRE RISQUE DE CANCER, répondez au test bit.ly/2Ul1ZTj et découvrez vos résultats pour déterminer quels comportements modifier pour réduire vos risques.

Rappelons aussi quelques conseils pratiques pour contribuer à réduire le risque de développer un cancer :

BOUGEZ PLUS

Pratiquer une activité physique ne signifie pas obligatoirement pratiquer un sport.

L’activité physique au sens large inclut également tous les mouvements effectués dans la vie quotidienne, ceux nécessités par la pratique professionnelle, ceux de la vie courante (jardinage, ménage…), ceux liés aux déplacements (marche, vélo…) ou aux loisirs (promenade, jeu…).

MANGEZ ÉQUILIBRÉ ET VARIÉ

Une alimentation équilibrée et diversifiée, privilégiant les fibres, les fruits et légumes, est un facteur protecteur et susceptible de réduire le risque de cancer.

LE TABAC, 1ER FACTEUR DE RISQUE DE CANCER

Plus on fume longtemps, même peu, plus les risques augmentent.
À tout âge, l’arrêt du tabac entraîne un bénéfice significatif.

L'ALCOOL, UNE CONSOMMATION À RISQUE

Même à faible dose, l'alcool augmente le risque de cancers.

+ d'infos : bit.ly/2vF0HrY

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01/02/2025

: "Paracétamol Challenge"... quels sont les risques de ce nouveau défi TikTok ?

Alertez vos enfants : un nouveau défi sur le réseau social se propage chez les ados, le “paracétamol challenge”.

Cela consiste à consommer des doses excessives de paracétamol pour tester sa résistance et savoir qui restera le plus longtemps à l'hôpital.

Un jeu très dangereux et complètement stupide, car on peut mourir d’une intoxication au .

Ce n’est pas parce que c’est le médicament le plus utilisé dans le monde, qu’il ne coûte pas très cher et qu’il est disponible sans ordonnance qu’il n’est pas potentiellement dangereux.

L’intoxication est la première cause d’hépatite aiguë sévère et la première cause de transplantation du foie en urgence.

Les doses maximales après 15 ans ou 50 kg, c’est 3 grammes par jour et il ne faut pas prendre 2 grammes d’un coup : 1 g au maximum matin, midi et soir, ce qui fait toutes les 6 à 8 h pour couvrir la journée.

En revanche, uniquement sur avis et prescription médicale d’un médecin, il est possible de prendre 4 g de façon temporaire.

Pour les enfants, c’est encore moins : on recommande de donner la dose de 15mg/kg par prise sans jamais dépasser la dose de 500 mg par prise chez l'enfant de moins de 15 ans et ce même si le calcul de la dose à administrer fourni une dose de paracétamol supérieure à 500 mg.

La surdose peut se manifester par des nausées, des vomissements ou des douleurs au ventre. On peut également observer une jaunisse, c'est-à-dire un jaunissement de la peau lorsque le surdosage est très important.

Les premiers signes d' , ne peuvent arriver que 24 à 48 heures après l'ingestion. Souvent quand il est déjà trop t**d.

Ces risques dépendent de la santé du patient et à surdose égale, chaque personne peut réagir de manière très différente.

Lorsqu'un surdosage a été constaté et qu'un ou plusieurs symptômes se déclarent, il est essentiel d'appeler les secours voire de contacter les centres de anti-poison les plus proches. Il existe un antidote contre l'excès de paracétamol.

Parlez-en autour de vous et informez vos enfants.

+ d'infos : urlr.me/QDPKRb et urlr.me/zkfEJx

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30/01/2025

: La fièvre chez l'enfant

Comment prendre la température ? Que faire pour faire baisser la fièvre ? Quels sont les signes d’inquiétude et quand consulter ?

La fièvre n’est pas une maladie, mais plutôt le signe d’une maladie.

La plupart du temps, la fièvre indique que l’organisme se bat contre une infection virale ou bactérienne. L’élévation de la température activerait le système immunitaire de votre enfant.

La est donc un allié naturel qui témoigne de l’efficacité des mécanismes de défense du corps, plutôt qu’un ennemi à combattre.

En elle-même, la fièvre est le plus souvent sans gravité mais nécessite un traitement si :

- elle dépasse 38,5 °C
- elle persiste plus de 2 jours
- votre enfant a moins de 3 mois
- elle est mal supportée

La température du corps est de moins de 37,5 °C le matin et moins de 37,8 °C le soir.

On parle de fièvre si elle dépasse 38 °C lorsqu'elle est prise chez un enfant normalement couvert, non exposé à une atmosphère très chaude et n'ayant pas fait une activité physique intense avant la prise de température.

Prenez sa température à distance des repas, après 20 minutes de repos et en utilisant un thermomètre électronique (ceux à mercure sont aujourd'hui interdits).

Respectez l'hygiène et le mode d'emploi et en fonction de la voie choisie, pensez à majorer la température :

- voie rectale : la plus précise, elle ne nécessite pas de majoration de température.

- voie auriculaire (conduite de l'oreille) : déconseillée avant 2 ans, elle permet une mesure précise, mais difficile à utiliser chez l'enfant (conduit étroit, mouvements de l'enfant, résultat perturbé par la présence d'un bouchon de cérumen).

- voie buccale (enfants de + de 5 ans) : majorez la température de 0,5 °C

- voie axillaire (sous l'aisselle) : peu précise mais utile pour avoir une
évaluation, majorez la température de 0,6 °C.

+ d'infos : bit.ly/3ggduEp

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23/01/2025

: Pourquoi les légumes verts sont bons pour la santé ?

Ultra-riches en vitamines, en fibres et en minéraux, les légumes verts boostent l'organisme et aident à prévenir certaines maladies. En plus, ils sont pauvres en calories !

À noter tout de même que, d'un point de vue nutritionnel, la formule « légumes verts » ne signifie pas de couleur verte, mais légume frais, à la différence des légumes secs comme les légumineuses.

Ils contiennent en effet de nombreuses vitamines essentielles au bon fonctionnement de l’organisme et notamment les vitamines A, B, C et K. Les légumes verts sont de plus très riches en minéraux. On y trouve du magnésium, du fer, du calcium.

Brocolis, poivrons, courgettes, salades, carottes... peu importe la couleur, les légumes verts sont à consommer sans modération !

Quel que soit le légume vert sur lequel s'est porté votre choix, ses vertus pour la santé sont nombreuses.

Manger des légumes verts régulièrement renforce votre système immunitaire et vous permet de lutter contre le stress et la fatigue.

Riches en acide folique, en magnésium et en chlorophylle, ils améliorent notamment le fonctionnement du foie et la digestion en général.

Ils préviennent la constipation et les maladies cardiovasculaires, ils détoxifient l’organisme, ils améliorent la vue, ils garantissent la bonne santé du fœtus durant la grossesse.

Les légumes verts contiennent beaucoup d’eau et sont faibles en calories, ils permettent donc de garder la ligne ou favorisent la perte de poids dans le cadre d’un régime minceur.

Une étude publiée dans la r***e Frontiers in Aging Neuroscience a montré que les légumes verts avaient des bienfaits sur le cerveau grâce à la lutéine qu’ils renferment. Les légumes verts foncés, comme les épinards, les brocolis ou le chou vert frisé, sont les aliments qui en contiennent le plus.

Les recettes délicieuses avec des légumes verts sont nombreuses et très rassasiantes : ratatouille, gratin de brocolis, soupe d’hiver au potimarron, ou encore wok de légumes variés et poêlée hivernale, vous avez le choix.

+ d’infos : urlr.me/XkUyMQ / urlr.me/kHKzc4

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25/02/2025

22/02/2025

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