Sévrine Lysimaque Psy-ritualité

Sévrine Lysimaque Psy-ritualité Ma pratique est fondée sur la psychologie, la santé, le bien-être, la spiritualité etc.

Psychologue de formation, je suis passionnée par l'écriture, par la danse, par la cuisine, par la nature et par la vie tout simplement! C'est donc en toute logique que j'ai décidé de faire de toutes mes passions, ma mission pour accompagner l'humain

11/09/2025
Pourquoi je suis moins active sur les réseaux sociaux ?Je vais bien et je ne suis pas à court d’inspiration1-La raison p...
10/09/2025

Pourquoi je suis moins active sur les réseaux sociaux ?
Je vais bien et je ne suis pas à court d’inspiration
1-La raison principale est que j’ai des projets personnels et professionnels en cours (oui... je fais rarement qu’une seule chose à la fois) qui prendront encore quelques mois avant de se concrétiser et j’y investis beaucoup d’amour, de temps et d’énergie.

2-Lorsque j’écris et que je ne publie pas tout de suite, il est difficile pour moi de revenir sur les mots que j’ai posés, je ne suis plus dans les mêmes conditions (humeur, énergie...) qu’au moment de l’écriture donc je ne ressens plus l’envie de partager ces émotions qui ne sont plus.

3-Je pense que je suis un peu dégoûtée de toutes les aberrations que je vois sur les RS auxquels le public adhère sans comprendre ce qui se cache derrière (normaliser du pathologique, forcer l’adhésion par la victimisation ou par l’identification, faire passer de la violence voire de la haine pour de l’humour, croire au faux, à l’irréel...)

4-Sur Instagram particulièrement, on ne publie pas n’importe comment et à vrai dire...ça me saoule !

5-Pourquoi je publie rarement des photos ou des vidéos ? Là aussi c’est le dégoût qui revient ! Je suis plutôt discrète par nature et je n’utilise pas les RS pour m’exhiber... Les vidéos sont intéressantes quand le message me paraît important, ou pour faire la promotion d’une activité mais elles sont coûteuses en temps, en énergie, en organisation...tout ce que je désire constamment !
Aussi, il m’arrive souvent de ressentir de la frustration quand mes photos reçoivent davantage de réactions que ce que j’ai réellement envie de partager (une analyse, ma passion pour l’écriture, ma vérité, un éveil de conscience...).
De plus, j’ai reçu quelques fausses demandes de collaboration qui étaient tout simplement des tentatives déguisées de dr**ue et ça, je trouve que c’est vraiment écœurant !

6-Je ne m’estime pas être une influenceuse donc je n’ai aucun intérêt à publier régulièrement pour créer de la visibilité !

7-J’ai une vie bien réelle et pas virtuelle !

Nouvelle année scolaire, nouveaux projets certainement
Et j’espère, malgré tout, avoir plus d’occasions de partager quelques mots
Bon courage à tous

Sévrine Lysimaque

14/08/2025
A toi femme...Précieuse, parfaite, complète,Tu as hérité d’un don inestimable, Le pouvoir de donner la vieTu crées, tu t...
13/08/2025

A toi femme...
Précieuse, parfaite, complète,
Tu as hérité d’un don inestimable,
Le pouvoir de donner la vie
Tu crées, tu transmets, tu prends soin
Tu es la mère de l’humanité
Et ce statut te confère une responsabilité d’une haute importance
Tu n’as pas le droit de mépriser ta puissance, ta nature
En te réduisant à des morceaux de chairs que tu exposes à qui veut voir
Ne te soumets pas volontairement au jugement de l’autre
A qui tu donnes le pouvoir de t’estimer, de te donner une valeur
Tu n’as pas le droit de piétiner ta valeur, ta grandeur
En te considérant uniquement comme un instrument de désir
Tu n’as pas le droit de troquer ta liberté à l’obligation de te dévêtir pour être vue,
Honorée, respectée
Ton corps est un temple et tu en es la gardienne

Quand tu penses t’attaquer au patriarcat
En imposant ton précieux corps aux yeux de tous
Demande-toi à qui tu offres la vue de ton intimité ?
Qui en profite vraiment ?
A qui tu permets de te définir comme “bonne” ou désirable ?

A toi, victime d’une guerre silencieuse dont le but est de te perdre
T’atteindre, c’est compromettre l’humanité entière
Ne te cherche pas dans des définitions, des étiquettes
Tu es bien plus que cela
Ne te laisse pas influencer par les algorithmes, les vidéos, les “stars” et leurs intentions douteuses
Qui veulent te voir sombrer dans une quête identitaire
Dans l’addiction de “j’aime”, dans l’exhibition

A toi mère, d’une future mère,
Transmet à ta fille la clef du féminin
Apprends-lui à s’aimer, à s’honorer
Pas dans le paraître, mais dans l’Être
Et non à envier, à imiter, à se chercher dans le regard de l’autre
Ne lui permet pas de douter de sa place, ni de se perdre dans la déchéance

A toi qui doutes de ton pouvoir
Pourquoi le marketing mise autant sur toi et sur ta capacité à te laisser séduire ? A dépenser ? A créer une émulation (pour remplir des festivals, des soirées...) ? A attirer ?

Ne sois pas la femme que tout le monde veut, que tout le monde voit,
La femme influençable, objet sexuel, instrument de désir
Ne sois pas ce morceau de viande à qui on attribut un prix
Tu incarnes la sensualité, pas le vulgaire
Tu es la beauté incarnée, tu n’as pas besoin d’artifices ou de rajouter quoique ce soit à ton corps parfait
Connecte-toi à ta sagesse divine et à l’être sacré que tu es
Sois certaine de ta place et du pouvoir que la vie t’a légué

Sévrine Lysimaque

J’ai été insultée par deux femmes, à la suite d’une de mes publications. Dans celle-ci, je dénonçais une pratique qui se...
22/07/2025

J’ai été insultée par deux femmes, à la suite d’une de mes publications.
Dans celle-ci, je dénonçais une pratique qui se répand chez certains parents (autrement dit, pas tous).
Certains (mot important, empêchant toute généralisation) posent eux-mêmes, un diagnostic à leur enfant, sans consulter bien entendu. Je ne faisais donc pas référence aux enfants qui ont un trouble reconnu, ni aux parents qui ont fait le nécessaire et doivent les accompagner au quotidien. Ça me semble clair !! Et pourtant...
Ces femmes ont dirigé le débat sur l’un des troubles mentionnés en exemple (le TDAH) pour le définir, exposer la souffrance des parents vivant avec des enfants porteurs dudit trouble et certainement, leur propre souffrance.
J’ai été plongée dans une spirale infernale d’insultes, de mépris et de critiques, à la hauteur de leur incompréhension, de leur vive douleur qu’elle faisait vivre à travers cet écrit qui ne les concernait pas.
Il fallait que je regrette mes propos, me rendre coupable et il était même question de me dire comment écrire (lol).
J’ai décelé la solitude, les éventuelles luttes auxquelles elles ont été confrontées et le besoin d’exister qui s’est introduit dans une brèche de mon écrit. Lire “TDAH” leur a hérissé le poil et leur donnait le droit de vomir tout ce qu’elles n’ont jamais digéré jusque-là. Malheureusement là, n’était pas le propos mais elles s’en fichaient !
C’est dire à quel point la souffrance est grande et veut se faire entendre par tous les moyens.
C’est dire aussi parfois, notre incapacité à prendre du recul, à analyser, à essayer de comprendre, à simplement respirer avant de répondre lorsque l’on se sent concerné, touché, blessé.
C’est dire notre faculté à tout prendre pour nous, sans essayer de réfléchir, de prendre de la hauteur (Ne pas en faire une affaire personnelle : 2ème accord Toltèque).
C’est dire aussi notre capacité à nous montrer agressif et à attaquer l’autre, à vouloir le détruire pour garder sauf notre Ego.
Et parfois, c’est dire notre volonté de briller en tentant d’éteindre la lumière de l’autre, jouissif surtout quand on s’attaque à un professionnel, sur son champ de bataille.

Pour revenir à mon propos
Les troubles ou aptitudes ne sont pas des adjectifs qualificatifs ! Ni TDAH, ni HPI, ni bipolaire, ni pervers narcissiques et encore moins “toxique” qui n’existe pas.
J’ai constaté que certains parents s’octroient le droit de diagnostiquer leurs enfants (encore une fois, eux-mêmes) pour soulager leur conscience, pour se rassurer et parfois pour se déculpabiliser. L’étiquette posée leur offre comme un laisser-passer.
“Ce n’est pas moi, c’est lui, il a un problème ! ”
L’enfant ayant un “problème” (reconnu par eux), toute tentative visant à le contenir, serait vaine.
Un enfant de 7ans insultant et culpabilisant ses parents, s’est vu offrir une étiquette de HPI par ses parents (“il fait comme les grands”) pour justifier son insolence, ses mépris et surtout, excuser les parents qui ont décidé de le laisser faire.
Un enfant de 4 ans qui récupère des objets au cabinet et les balance sans que le parent présent ne le reprenne, se voit excuser car il a été décidé en famille, qu’il était TDAH.
Alors oui ! J’ai le droit d’être consternée et de tirer la sonnette d’alarme quand je vois ce genre d’agissements qui ne rendent service à personne et surtout pas aux tous petits. Les enfants d’aujourd’hui font les adultes de demain.
J’ai le droit de rappeler aux parents leurs responsabilités.
Que votre employeur ne se fourvoie pas, il n’y a pas plus grande mission que de guider et d’élever un enfant.

Sévrine Lysimaque

Quelques secondes, il a fallu que quelques secondes pour que la vie d’au moins deux personnes soient gâchées.Au-delà du ...
19/07/2025

Quelques secondes, il a fallu que quelques secondes pour que la vie d’au moins deux personnes soient gâchées.
Au-delà du jugement, c’est d’abord notre attrait pour l’humiliation que je questionne.
Nous aimons humilier et voir les autres se faire humilier.
Comme on le dit si bien ici, dan ka ri mizè.
Nous ne voyons pas des personnes, mais des moyens de libérer nos pulsions sadiques.
Je questionne aussi les réseaux sociaux, outil parfait pour faire vivre notre passion pour le scandale, pour obtenir l’adhésion de tous, voire la pensée unique. Et que dire lorsque cette pensée est dirigée vers la destruction de l’autre ?
Oui on peut blesser sans toucher, on peut même tuer sans toucher, on peut retirer à une personne sa dignité, son estime-de-soi, on peut la faire sombrer véritablement et l’anéantir.
La violence psychologique est aussi fatale que la violence physique, voire pire car elle laisse peu de traces.
Finalement, en diffusant, en poussant les autres à rire du malheur de l’autre, ne devenons-nous pas nous-mêmes, des assassins ?

Sévrine Lysimaque

Pourquoi l’Ego est-il important ?On oppose souvent l’Ego et l’âme en méprisant l’un et en idéalisant l’autre. Mais que s...
08/06/2025

Pourquoi l’Ego est-il important ?
On oppose souvent l’Ego et l’âme en méprisant l’un et en idéalisant l’autre. Mais que serait l’un, sans l’autre ?
Je définirais l’âme comme l’essence de notre être ; je l’imagine comme notre lumière centrale et divine, masquée par une couche d’Ego.
L’Ego est notre masque et est ce que l’on perçoit en premier, notre apparence physique ou du moins, ce que nous montrons de nous (style, manière de s’exprimer, tenue vestimentaire...), nos habitudes, nos craintes, une partie de notre personnalité.
L’âme se recherchera davantage dans des éléments plus profonds : notre connexion avec la vie, avec nous-même, avec les autres, dans la vocation, la mission de vie, l’intelligence émotionnelle, dans nos capacités de discernement, de lâcher-prise etc.
L’âme existe avant l’Ego car ce dernier est fait de nos apprentissages (expériences vécues, éducation...), il est notre Moi conditionné ; il fait donc référence à ce qui est de l’ordre de l’acquis, alors que l’âme est innée.
Si l’Ego ne peut exister sans l’âme, l’âme a aussi besoin de l’Ego comme “véhicule”, pour se personnifier, pour avoir une “personnalité”.
Pour que les deux puissent cohabiter, l’Ego étant une instance instable et immature, doit se mettre à l’écoute de l’âme et la laisser guider ses choix, car elle, contrairement à l’Ego, sait.
Souvent, l’Ego est tenté par le désir de se montrer, d’avoir le contrôle, d’imposer sa domination, sa supériorité, de gagner, ou au contraire de se dévaloriser, de se perdre dans de fausses croyances qui le limitent ou l’empêchent de développer ses capacités ou de faire preuve de créativité. Ainsi, il méprise l’âme, la vie et la divinité qu’il et que l’autre incarne.
L’âme est Éros, les pulsions de vie alors que l’Ego est dirigé par Thanatos, les pulsions de mort.
Alors comment l’Ego peut-il être utile à l’âme ?
En mettant sa fourbe au service de l’âme, à travers les principes et les valeurs qu’il jaugera sur le baromètre de la vie.
Le jugement impitoyable de l’Ego doit servir la vie dans son ensemble :
Se faire respecter : respecter l’être divin que nous sommes en refusant de nous réduire à une apparence, à un corps, au matériel. Refuser le superficiel pour s’élever à des niveaux supérieurs de conscience.
Imposer ses limites et respecter celles des autres : savoir dire non pour de bonnes raisons, refuser l’inacceptable
Défendre le sacré, le sain, la Conscience, la vie
Diriger sa fierté vers ce qui libère, ce qui élève plutôt que sur ce qui sépare ou enferme
Accepter que l’Amour est l’unique chemin
L’Ego détient le pouvoir de transmettre, qu’il se laisse guider par l’âme pour transmettre ce qui est juste et animé par l’Amour, par la vie

Sévrine Lysimaque
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Aujourd’hui c’est “mon jour” mais c’est toi que je voudrais honorer car si j’existe, c’est parce que tu existes.Lorsque ...
01/06/2025

Aujourd’hui c’est “mon jour” mais c’est toi que je voudrais honorer car si j’existe, c’est parce que tu existes.
Lorsque tu es né, je suis née en tant que mère et depuis, j’apprends à tes côtés.
J’ai appris à être mère d’un nouveau né, d’un enfant et bientôt je serai celle d’un ado, puis d’un adulte. J’ai appris, j’apprends et j’apprendrai encore.
C’est avec une profonde sagesse et beaucoup de gratitude que j’investis ma mission auprès de toi. T’élever, m’élèves.
Chaque jour est une bénédiction avec toi dans ma vie.
Chaque sourire que tu m’offres, chaque histoire que tu me racontes, chaque câlin que je reçois de toi, me comble.
Te regarder dormir, t’épanouir, réussir, fait fondre mon cœur de maman qui se sent si fort et si vulnérable à la fois.
Je te vois grandir, rêver, t’affirmer dans la personnalité que tu te crées et que je découvre au fil des jours ; celle d’un être honnête, justicier, bienveillant et discret. Quelle fierté pour moi !
A travers tous ces doux souhaits venus d’ailleurs et nulle part, seul ton jugement compte vraiment pour moi car tu es le seul à savoir quelle mère je suis pour toi.
Merci de m’avoir choisie comme maman. Merci de me faire don de la précieuse mission de t’aider à grandir.
J’ai commencé à tracer le chemin du bonheur pour toi, je te laisse les outils nécessaires pour que tu puisses continuer à le façonner.
Dans mon cœur, il y a une source inépuisable d’amour pour toi

Sévrine Lysimaque

Commémoration de l’abolition de l’esclavage L’histoire des mes ancêtres africains me peine, me révolte, me touche ; j’en...
30/05/2025

Commémoration de l’abolition de l’esclavage
L’histoire des mes ancêtres africains me peine, me révolte, me touche ; j’en parle chaque année car pour moi le travail de mémoire est important, surtout lorsqu’on est encore confronté au mépris de notre chère mère patrie qui voudrait essuyer ses mains pleines de sang en toute impunité.
Mais dans cette histoire, ce qui m’attriste davantage, c’est nous !
Ces hommes ont vécu des inhumanités et des atrocités impensables, innommables.
Pourtant, malgré le risque d’avoir la peau arrachée à cause des coups de fouets, d’être frappés à mort, attaqués par des chiens, brûlés au fer chaud, violés, amputés, d’être témoins de la mort d’un des leurs... ils cherchaient à fuir, à refuser leur condition d’hommes réduits en esclavage et à lutter pour leur liberté.
Quand je vois des personnes aujourd’hui qui n’aiment pas leur peau foncée
Des personnes qui n’assument par leurs cheveux
Celles qui veulent imposer leurs croyances religieuses
Celles qui fouettent leurs enfants ou qui les dénigrent
Les personnes qui acceptent la violence
Les personnes qui méprisent leurs propres frères
Celles qui justifient ou acceptent des lois, des décisions politiques qui vont à l’encontre de l’humanité
Celles qui pourraient vendre leur âme pour une connexion Internet, pour conserver des loisirs ou autre.
Et nous qui avons tant accepté jusque-là, sans (et heureusement) que notre vie soit menacée directement.
Même si je ressens de la colère quand j’essaie d’imaginer la souffrance de ces guerriers de l’époque, attachés au fond d’une cale de bateaux, condamnés au travail forcé, déracinés, enlevés à leur famille, vivants dans l’effroi, forcés à adopter de nouvelles croyances, nourris aux humiliations devenues pour beaucoup, des croyances... j’éprouve un profond respect et une grande honte.
Sommes-nous seulement conscients de l’importance de la vie ? De la nôtre et de celle des autres ?
Sommes-nous seulement conscients que ce qu’on croit être “la liberté” n’est en réalité que le projet qu’une poignée nous impose ?
Sommes-nous dignes de commémorer la lutte de ces hommes quand nous adoptons le même comportement que les bourreaux de l’époque ?
Que penseraient-ils de nous...Je préfère ne pas y penser

Sévrine Lysimaque

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