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📚Le roman "Pardonne-moi ma Mère, j'ai péché" d'Ephod Toussaint suit le parcours confessionnel de Maëva Désir à l'église ...
30/08/2025

📚Le roman "Pardonne-moi ma Mère, j'ai péché" d'Ephod Toussaint suit le parcours confessionnel de Maëva Désir à l'église Sainte Madeleine. Maëva, une jeune femme au passé complexe, se confie à une prêtresse, détaillant ses expériences avec les sept péchés capitaux. Cependant, ces confessions sont moins une quête d'absolution qu'une exploration de ses désirs et de ceux qu'elle rencontre. L'ouvrage met en lumière les failles humaines au sein du clergé, ainsi que les tentations et les luttes intérieures de la prêtresse, qui se retrouve peu à peu troublée par les récits de Maëva. Finalement, la confession se transforme en un acte de reconnaissance mutuelle et de libération, où les frontières entre le sacré et le charnel s'estompent, culminant dans une rencontre intime entre les deux femmes, symbolisant une recherche de vérité et d'acceptation.
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24/08/2025

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📚Les éclats du miroir briséQuatre ans. Quatre longues années passées à dévaloriser l’amour que je partageais avec ma fem...
15/08/2025

📚Les éclats du miroir brisé

Quatre ans. Quatre longues années passées à dévaloriser l’amour que je partageais avec ma femme, comme si celui-ci était une évidence, une routine inaltérable. Pendant tout ce temps, je n’ai jamais raté une occasion de la tromper. Pour moi, c’était une nécessité, un refuge contre l’ennui et la monotonie. À force d’habitude, elle ne me faisait plus vibrer — elle ressemblait désormais à une sœur quand elle enfilait ses lingeries sensuelles, espérant raviver une flamme que j’avais moi-même éteinte.

Plusieurs fois, elle m’a surpris. Chaque fois, ses larmes, brûlantes, ont coulé sans retenue.

La première fois, elle est entrée dans un tumulte de cris et de colère, cassant ce qui se trouvait sur son chemin. En pleurs, elle avait fui vers son père, cherchant conseil, consolation.

— « Tu sais, ma fille, » lui avait-il dit d’une voix grave, « les hommes ne peuvent s’empêcher de tromper… L’amour peut parfois devenir une lassitude. Reste auprès de tes enfants. Si tu le quittes pour un autre, l’autre te trompera aussi. »

Ce jour-là, son père devint pour moi un allié inattendu. J’ai divisé mon salaire en deux et confié une part à ma femme, convaincu d’avoir l’aval tacite de celui-ci. Mon beau-père, presque mon complice, avait validé ma trahison.

Elle s’est tue, apaisée par ces mots, tandis que moi, je prenais de plus en plus de liberté. La tromperie est devenue une habitude. Plus de cachettes, plus de peur.

Un samedi soir, après une balade, un silence étrange m’accueille à la maison. Nos enfants dorment dans le salon, sans moustiquaire, entourés de moustiques avides. Je hurle son nom, sans réponse. La maison est déserte, ou presque : ni dans la cuisine, ni dans les chambres, elle n’est.

Je tente de l’appeler. Son téléphone sonne dans le vide.

L’heure avance. Il est déjà une heure du matin. L’angoisse me serre la poitrine.

Puis, vers une heure et demie, une voiture s’arrête devant le portail. Un jeune homme descend. Ils échangent des mots, longuement, tandis que je suffoque, pris d’un malaise soudain. Mes mains tremblent, mes jambes flageolent.

Le jeune homme prend la main de ma femme et l’embrasse – un ba**er lent, langoureux et dévastateur.

Je me laisse tomber dans le fauteuil du salon, le souffle court, la fièvre montante. Je me couvre d’un pagne, essayant de contenir la tempête intérieure.

Quand elle revient, resplendissante, je ne peux retenir ma colère :

— « D’où reviens-tu à cette heure ? »

— « J’étais à un rendez-vous, chéri. Je suis désolée, je ne t’ai pas prévenu… Ça faisait longtemps que je n’avais pas ressenti ça : être aimée, choyée... »

Je me calme, mais l’inquiétude et la douleur restent violemment gravées. Elle part se doucher, pleine de joie, absorbée par son téléphone.

Le lendemain, je débarque chez ses parents, furieux et prêt à rompre. Son père téléphone à ma femme, la colère dans la voix :

— « Tu deviens f***e ? »

Elle répond calmement :

— « Tu sais, papa, les femmes ne peuvent s’empêcher de tromper... Faire l’amour avec la même personne, ça peut être fatiguant. Dis à Jo de rester auprès des enfants, car s’il me quitte pour une autre, elle le trompera aussi… »

Je m’évanouis. Sept jours d’hôpital.

À mon réveil, elle m’avoue la vérité : rien n’est arrivé avec ce jeune homme. Elle voulait seulement que je sente ce que je lui faisais ressentir à chaque infidélité. Une leçon d’égalité.

Mais malgré cette preuve d’amour paradoxale, parfois, les doutes me rongent encore.

— « Est-ce qu’elle n’a vraiment rien fait ? »

— « Et si les discussions continuent secrètement ? »

— « Et si ce ba**er n’était pas si innocent ? »

Ces crises de jalousie me dévorent sans raison, mais le miroir brisé de notre confiance reste difficile à recoller.

L’amour ne peut survivre à l’indifférence ni à la trahison banalisée. Se croire au-dessus des sentiments de l’autre, penser que l’on pourra toujours revenir à la maison, libre et sans conséquence, c’est ignorer que la douleur se répercute des deux côtés du miroir. La fidélité n’est pas seulement un serment, c’est un respect, un choix conscient, un engagement qui alimente la flamme avant qu’elle ne s’éteigne.

Dans le miroir de l'infidélité, on voit toujours deux visages brisés.

🍑🥒Il y a, dans la courbe d’une poitrine féminine, un mystère ancien. Un langage silencieux, entre force et tendresse. C’...
12/08/2025

🍑🥒Il y a, dans la courbe d’une poitrine féminine, un mystère ancien. Un langage silencieux, entre force et tendresse. C’est là que naît le souffle, que bat le cœur, que s’abritent les soupirs du désir et les promesses de l’intime.

La poitrine n’est pas seulement un attribut — elle est un symbole. De féminité, de sensualité, de maternité, de pouvoir. Elle bouleverse les regards, trouble les silences, et parfois, fait naître les plus doux vertiges.

Chaque poitrine est un monde, une poésie à part entière. Qu’elle soit menue ou généreuse, elle s’affirme, elle parle, elle vit. Sous le tissu, elle devine. Contre la peau, elle raconte.

Il ne s'agit pas de la dévoiler, mais de la contempler avec l’art de ceux qui savent voir.

11/08/2025
🍑💦🥒Laisse-toi tenter… Des vidéos qui éveillent les sens t’attendent sur Telegram. **n      ********on
07/08/2025

🍑💦🥒Laisse-toi tenter… Des vidéos qui éveillent les sens t’attendent sur Telegram.
**n ********on

🍑💦🥒Boire le sperme : fantasme, mythe ou réalité ?Sur le plan médical, boire le sperme n’est ni nécessaire ni particulièr...
06/08/2025

🍑💦🥒Boire le sperme : fantasme, mythe ou réalité ?

Sur le plan médical, boire le sperme n’est ni nécessaire ni particulièrement bénéfique pour la santé, mais ce n’est pas dangereux non plus dans un contexte sain.

Voici quelques points importants :

✅ Ce qu’il faut savoir :
- Le sperme contient des protéines, du fructose, des enzymes, du zinc, etc., mais en quantité minime, donc aucun effet nutritionnel significatif.
- Si le partenaire ne présente aucune infection sexuellement transmissible (IST), cela ne pose pas de risque.
- En cas de doute (herpès, VIH, chlamydia, etc.), l'ingestion peut transmettre des infections.

🔎 D’un point de vue psychologique :
- Cela peut faire partie d’un jeu sexuel consensuel, renforcer l’intimité ou l’excitation si les deux partenaires sont à l’aise.
- Mais ce n’est en aucun cas une obligation. Ce qui compte, c’est le consentement mutuel et le confort émotionnel* de chacun.

En résumé :* Ce n’est ni “bon” ni “mauvais” – c’est une question de santé, d’hygiène et surtout de choix personnel éclairé.












📚L'OMBRE D'UN PACTE SILENCIEUX La nuit rampait derrière les fenêtres, fragmentant le silence en éclats d’angoisse. Dans ...
01/08/2025

📚L'OMBRE D'UN PACTE SILENCIEUX

La nuit rampait derrière les fenêtres, fragmentant le silence en éclats d’angoisse. Dans cet appartement dissous dans la pâleur des murs, l’air paraissait chargé de confessions non dites. En face de moi, son ombre avait pris la consistance du réel, ses yeux semblant sonder mes pensées les plus enfouies.

— Crois-tu vraiment comprendre ce qui se trame ? susurra-t-elle, comme si chaque mot risquait de déchirer le voile fragile de la réalité. Il ne s’agit pas seulement d’une grossesse. C’est un contrat, invisible mais féroce. Le genre qui marque la chair et l’âme.

Un frisson parcourut mon échine, un froid inexplicable. Le jeu s’évanouissait, laissant place au tumulte d’une vie nouvelle — et d’un secret partagé, lourd, indicible.

— Je n’ai jamais voulu ça, balbutiai-je, assailli par une panique sourde. Je croyais tout contrôler, réduire nos gestes à des échanges banals. Mais ce pacte-là… il refuse d’être ignoré.

Elle esquissa un sourire, à la fois protecteur et glacé, presque irréel.

— Ce que tu nommes hasard est parfois le reflet d’une volonté souterraine, chuchota-t-elle. Tout ce qui commence dans l’ombre finit par réclamer sa lumière. Même toi, tu ne peux échapper à la trace de ce choix.

Le silence gonfla jusqu’à presque me briser. J’avais la sensation étrange que quelque chose d’invisible respirait, entre nous.

— Si je partais, tentai-je, est-ce que vraiment tout s’effacerait ? Ou resterais-je hanté par un spectre qui n’a pas de visage ?

Son regard glissa dans le mien, sombre et transparent à la fois.

— Ceux qui croient pouvoir fuir l’invisible portent toujours la marque du secret, répondit-elle avec la gravité d’un oracle. La honte qui t’effraie n’est que la gardienne du seuil. Le vrai courage, c’est d’oser regarder le pacte qui lie, même dans la clandestinité.

D’un mouvement silencieux, elle vint s’asseoir tout près. Je sentis sa chaleur, mais c’était surtout la force du mystère partagé qui m’enveloppa.

— Ce que je veux, c’est ta présence authentique, pas un rôle dicté par la peur ou l’envie de paraître. Viens, affronte l’avenir avec moi, même si nous devons marcher parmi les ombres.

Je sentis la frontière entre hier et demain vaciller. Un souffle nouveau s’imposait, fait de vertige et d’une tendresse sauvage.

— J’essaierai, murmurai-je, sans savoir si je m’adressais à elle ou à l’obscurité qui nous engloutissait.

Un sourire, indéchiffrable, se forma sur ses lèvres. L’ombre du pacte semblait alors palpiter autour de nous, pleine de promesses et de périls.

À quel point nos actes les plus secrets forgent-ils un labyrinthe intérieur dont nous demeurons prisonniers, et comment reconnaître le moment où l’on cesse de fuir pour enfin faire face à l’obscurité en nous ?

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📚ELLE DISAIT QUE C'ÉTAIT MOI Pardonnez-moi de vous écrire encore une fois. Ce n’est pas la fierté qui me pousse, c’est p...
31/07/2025

📚ELLE DISAIT QUE C'ÉTAIT MOI

Pardonnez-moi de vous écrire encore une fois. Ce n’est pas la fierté qui me pousse, c’est peut-être ce vertige qui prend l’âme quand elle ne sait plus à quoi croire.

Elle me disait que j’étais l’élu, l’issue, la vérité qu’elle n’avait jamais pu épouser la première fois. Que son mariage avec lui — l’autre, l’ex — n’était qu’un compromis douloureux dicté par les volontés parentales. Elle me disait qu’elle s’ennuyait, qu’elle s’étouffait dans cette vie d’apparences, et que j’avais été pour elle comme une brèche d’air pur dans un monde de faux-semblants.

À cette époque, j’étais son amant. Il était le mari. Je portais ce rôle clandestin avec l’ardeur d’un homme qui croit à l’amour, même quand il se cache.

Elle l’a quitté. Il a découvert la vérité, leur union a éclaté. Et nous, nous nous sommes mis ensemble à la lumière du jour. Nous nous sommes mariés. Je croyais, naïvement peut-être, que les rôles s’étaient stabilisés. Que j’étais devenu celui qu’on ne quitte pas.

Mais voilà que l’histoire se répète, avec une ironie presque cruelle. Elle me trompe à présent avec lui. Celui qu’elle trompait autrefois avec moi. La boucle est refermée — ou peut-être simplement rouverte sous une autre forme, comme une blessure jamais vraiment cicatrisée.

Je lui ai montré les preuves. Elle pleure. Beaucoup. Sans mots. Sans défense. Elle me dit que ce n’est pas ce que je crois, mais sans expliquer ce que c’est vraiment. Elle pleure comme on se noie, mais je ne sais pas si c’est de remords, de peur, ou de trouble encore plus profond.

Et moi je reste là, sidéré, à tenter de comprendre. À me dire qu’un deuxième échec pour elle serait une honte, une tache qu’elle ne pourrait jamais laver. Je pense à l’honneur, à la honte, à la fidélité. Et je vacille.

On m’a dit qu’il est difficile de comprendre une femme. Mais je n’avais pas imaginé ce labyrinthe. Ce retour au point de départ.

Alors je vous demande, à vous qui lisez ces lignes :
Est-ce qu’on peut vraiment trahir quelqu’un qu’on n’a jamais cessé d’aimer ?

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📚 LE PRIX DU SAVOIR Je m’appelle Annie. J’ai vingt et un ans, un âge où l’on devrait rêver librement, lever les yeux ver...
30/07/2025

📚 LE PRIX DU SAVOIR

Je m’appelle Annie. J’ai vingt et un ans, un âge où l’on devrait rêver librement, lever les yeux vers l’avenir, sans trop d’ombres. Orpheline depuis mes huit ans, j’ai grandi dans la maison de ma tante, qui m’a élevée avec une rigueur mêlée de tendresse, parfois silencieuse, parfois maladroite. Elle est partie il y a six mois, emportée sans bruit, laissant derrière elle des armoires pleines de robes qui ne sentent plus rien, et un vide que je n’ai pas su combler.

Depuis, il ne reste plus que lui. Son mari. Mon tuteur. Une présence lourde dans une maison désormais trop calme. J’ai obtenu mon bac, une petite victoire dans le tumulte — je l’ai tenu entre mes mains comme un talisman. Je croyais qu’il serait fier. Je croyais qu’il m’aiderait à poursuivre. Qu’il honorerait la promesse silencieuse qu’il avait faite à sa femme. Mais cette semaine, il a énoncé ses conditions.

Avec une voix tranquille, presque administrative, il m’a dit que si je voulais aller à l’université, si je voulais que les frais soient couverts, alors je devais “faire l'effort de le satisfaire”.
Il n’a pas dit plus. Il n’a pas eu besoin. Tout était dans la façon dont il me regardait. Dans le silence après la phrase.

Je vis seule avec lui. Chaque pièce de la maison m’est désormais étrangère, étrangère à moi-même. Je ne sais plus où poser mes gestes, mes rêves, ma peur.

Alors je me demande : jusqu’où faut-il aller pour apprendre ? Et qu’est-ce qu’on devient quand le prix du savoir, c’est son propre corps ?

Quand un homme détient les clés de ton avenir, que reste-t-il de ta liberté ?

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