
16/05/2025
Aujourd’hui, 16 mai, c’est la Journée mondiale de la maladie cœliaque.
Une pathologie chronique, invisible, mais bien réelle.
1% de la population est concernée.
Mais combien sont réellement diagnostiqués ? Pris en charge ? Écoutés ?
Vivre avec une maladie cœliaque, c’est vivre avec une exclusion permanente :
• Des rayons alimentaires où les produits sans gluten coûtent 3 à 4 fois plus cher.
• De la prise en charge médicale, encore trop approximative, souvent réduite à « évitez le gluten ».
• De l’école, des cantines, des restaurants, où l’enfant ou l’adulte cœliaque devient « compliqué », « capricieux », ou tout simplement « invisible ».
Les conséquences ?
Des carences, des douleurs, de la fatigue chronique, une croissance perturbée chez l’enfant, et une détresse psychologique réelle mais peu considérée.
Sans parler du re**rd au diagnostic, parfois de plusieurs années.
Je suis personnellement plus que concerné(e).
Je sais ce que cela implique chaque jour. Je sais ce que cela coûte – au sens propre comme au figuré.
J’en appelle aujourd’hui à davantage :
• De reconnaissance,
• De sensibilisation,
• De soutien,
• De mobilisation.
Parents, enseignants, professionnels de santé, décideurs : échangeons.
Faisons du bruit.
Ce 1% mérite mieux.