Les varices : De quoi s'agit-il ?
Aujourd’hui, un chirurgien ne doit plus s’intéresser à plusieurs pathologies.
La chirurgie des varices est aujourd’hui une spécialité à part entière et le chirurgien vasculaire que je suis s’est consacré depuis maintenant plus d’une vingtaine d’années à la chirurgie des varices.
C’est une spécialité que j’ai pratiqué en France pendant 20 ans dans les meilleurs hôpitaux de l’Assistance Publique à Paris puis en privé dans les meilleures cliniques parisiennes. J’ai pris la décision de m’installer au Maroc il y a 4 ans pour apporter l’expertise que j’ai acquise en Europe.
L’hyperspécialisation" dans un seul secteur d’activité est la seule façon de pouvoir participer à l’ensemble des congrès et de se tenir au courant des diverses évolutions qui sont aujourd’hui de plus en plus rapides (par exemple aujourd’hui pour se faire opérer de la main il vaut mieux de se faire opérer par un spécialiste qui ne fait que de la chirurgie de la main) et pour les varices c’est la même chose: seul un chirurgien n'opérant que des varices vous donnera la meilleure sécurité.
Cette pathologie veineuse est très fréquente elle touche à peu près 30% de la population un peu plus les femmes que les hommes. Elle est invalidante et a deux versants, un versant esthétique chez des femmes jeunes qui ont le souci de découvrir leurs jambes l'été mais il s'agit également d'une pathologie qui se peut se compliquer et dont l'évolution peut être assez grave.
J’espère vous apporter des conseils utiles sur mon site.
Ce sont ces raisons qui m'ont poussé:
- à m'orienter vers la chirurgie des varices.
- à developper au Maroc la téléconsultation
Nous souffrons encore au Maroc de régions peu médicalisées « déserts médicaux » c’est un problème fréquent également en Europe. Nous avons eu l’idée déjà plus d'un an de mettre en place une "Téléconsultation gratuite" c'est-à-dire que pour les malades un peu isolés dans les régions lointaines (éventuellement dans le sud ou les montagnes) de répondre par téléphone et par vidéo aux questions qui sont posées pour donner des conseils et des orientations de traitements.
Cette téléconsultation est en place depuis un an environ et nous pensons que cette réponse à la problématique posée par les « déserts médicaux » va être utile en terme de Santé Publique et se développer.
