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23/05/2023

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06/10/2018

_____________La colique néphrétique__________










La colique néphrétique est une douleur intense de la région lombaire et abdominale, survenant d'un seul côté. Elle est due à l'augmentation de pression dans les voies urinaires et dans le rein. Cette augmentation de pression résulte de la présence d'un obstacle qui est le plus souvent un calcul ou lithiase


Les coliques néphrétiques sont dues à un obstacle au niveau des voies urinaires qui empêche l’écoulement de l’urine.


La douleur se déclare de manière brutale dans la région lombaire, le plus souvent le matin et/ou la nuit. Elle est ressentie d’un seul côté, au niveau du rein touché Elle peut s’étendre du dos jusqu'au flanc et vers le ventre, l'aine et typiquement, cette douleur irradie vers les organes génitaux externes.
La douleur est d'intensité variable mais connaît des pics particulièrement aigus. Une douleur sourde persiste fréquemment entre chaqueépisode de crise, dont la durée peut aller d'une dizaine de minutes à quelques heures.
Les douleurs s'accompagnent, parfois de troubles digestifs (nausées, vomissements, ballonnements) ou urinaires (envies d'uriner fréquentes ou brutales). La présence de sang dans les urines est relativement fréquente. On observe souvent aussi une agitation et une anxiété.
En revanche, l'état général n'est pas altéré et il n'y a pas de fièver
complémentaires
*_Un examen cytobactériologique des urines(ECBU) est systématique. Il permet de détecter une surinfection de l'urine.
*_Un dosage sanguin de la créatinine (protéine éliminée par le rein) permet d'apprécier la fonction rénale globale.
*_Une radiographie standard de l'abdomen est toujours réalisée car elle parvient à mettre en évidence la plupart des calculs.
*_Le plus souvent, une échographie rénale et pelvienne est indiquée. Elle est parfois supérieure à la radiographie standard pour la détection de certains calculs. Elle permet également d'apprécier la dilatation rénale. Enfin, elle peut retrouver une cause tumorale de la vessie ou gynécologique.
*_Dans certains cas, un bilan radiologique plus spécifique est nécessaire (scanner abdominal et pelvien, urographie intra-veineuse).


La principale complication de l'obstacle rénal est la pyélonéphrite (infection du rein). La pyélonéphrite peut elle-même évoluer vers l'abcès rénal, la septicémie (passage de bactéries dans la circulation sanguine) voire le choc septique (défaillance des organes vitaux).
La mise en tension prolongée du rein évolue progressivement vers la destruction rénale.
Un obstacle des voies urinaires, s'il concerne les deux reins, peut donc engendrer à terme uneinsuffisance rénale irréversible


Il est possible d'en réduire les risques au quotidien par une hydratation régulière et suffisante (1,5 à 2 litres d'eau par jour) car cela contribue à diluer l’urine et diminuer le risque de formation de calculs.

La prévention concerne surtout les personnes ayant déjà souffert de
coliques néphrétiques.

Selon la cause de la colique néphrétique, on la traite.
Si la cause des coliques est un problème de calcul rénal, des mesures diététiques sont préconisées, elles dépendent de la nature des calculs déjà observés chez chaque personne. Un traitement préventif des calculs peut aussi être mis en place

La formation de ces calculs peut être favorisée par différents facteurs :
*_infections urinaires hautes
*_déshydratation
*_alimentation trop riche en abats et charcuteries
*_antécédents familiaux de lithiases
*_malformations anatomiques du rein
*_certaines pathologies (hyperparathyroïdie, goutte, obésité, diabète, diarrhée chronique, rein médullaire en éponge, acidose tubulaire rénale de type 1, maladie de Crohn, insuffisance rénale, hypercalciurie, cystinurie, sarcoïdose...).
Parfois, le risque de colique néphrétique est augmenté par la prise de certains médicaments.
La cause de la colique néphrétique peut rester inconnue et on parle alors de lithiase idiopathique


Il faut distinguer le traitement de la crise de celui de la cause.
Le traitement de la crise doit être entrepris avant même d'avoir réalisé le bilan, sitôt le diagnostic suspecté.
En l'absence de facteurs de gravité (fièvre, frissons, absence de mictions, douleur insupportable, rein unique), une hospitalisation n'est pas nécessaire mais un repos au lit est nécessaire.
Le traitement repose sur l'arrêt des boissons durant la douleur et la prescription de :
*_Médicaments antalgiques à base de paracétamol seul ou associé à d'autres substances
*_Médicaments anti-inflammatoires stéroïdiens (bétaméthasone) ou non stéroïdiens (kétoprofène) par voie orale. Ils réduisent la quantité d'eau filtrée par le rein. La pression dans le rein et la douleur sont ainsi diminuées ;
*_Les anti-spasmodiques (phloroglucionl) sont aussi prescrit.

26/09/2018

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: le zona se manifeste par des éruptions cutanées, due au réveil du virus responsable de la varicelle (l'herpes zoster, le même virus que la varicelle), le VZV. Une fois contracté, le virus de la varicelle reste latent dans les ganglions nerveux à vie. Sa réactivation peut survenir essentiellement chez la personne âgée ou au cours d'une diminution des défenses de l'organisme, et entraîner un zona.
** L'affection se complique essentiellement de douleurs qui peuvent devenir chroniques et invalidantes par névrite post-zostérienne **
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9 adultes sur 10 dans le monde ont déjà contracté le virus de la varicelle et sont donc porteurs (sains) du virus VZV (varicelle zona). Parmi ces personnes, près de 20% d'entre eux seront touchés un jour par le zona. Il est possible que les adultes ayant contracté le virus de la varicelle et ayant été en contacts avec des enfants touchés par la varicelle développent une protection contre le zona. Selon toutes vraisemblances, les scientifiques tendent à penser qu'une nouvelle exposition au virus pourrait renforcer le système immunitaire et empêcher un réveil du virus VZV.
:
• Le virus VZV, après la guérison de la varicelle, reste quiescent dans les ganglions nerveux, sans s'intégrer aux chromosomes hôtes.
• Le plus souvent à l'occasion d'une baisse de l'immunité (âge avancé, simple stress, certains cancers, etc.), le virus se réactive dans un ou plusieurs ganglions nerveux. De là, il remonte par les fibres nerveuses jusqu'à la peau (ou les muqueuses selon les nerfs touchés), provoquant une éruption caractéristique de la varicelle.
• Les lésions microscopiques de la peau sont identiques à celles de la varicelle.
• Une analyse histologique n'est en général pas nécessaire.
• Le facteur de risque principal reste l'âge, probablement par baisse de l'immunité cellulaire.

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• Avant l'éruption cutanée, les symptômes du zona sont les douleurs.
• les picotements.
• la sensation de brûlure.
• une légère fièvre et des manifestations gastro-intestinales.
• Apparaissent des éruptions cutanées.
• petites vésicules localisées sur le trajet d'un nerf sensitif.
• Après quelques jours, les vésicules sèchent et forment des croûtes qui finissent par tomber.
• Ce cycle peut durer entre 2 et 4 semaines.

Les trois principales formes de zona sont la forme intercostale, notable par sa fréquence, et les formes ophtalmique et otitique, remarquables par le risque important de complications.
1- : c'est un nerf situé au niveau de la colonne vertébrale qui est concerné par la réactivation, ce qui provoque l'apparition des symptômes dans la zone innervée par le nerf atteint, d'un seul côté du tronc : on parle d'une éruption en hémi-ceinture.
2- : Le zona ophtalmique représente entre 10% et 20% des cas. Il touche surtout les personnes âgées dont le système immunitaire est défaillant. La maladie se manifeste par des douleurs vives sur un côté du visage suivies d'une éruption cutanée et de brûlures. Il faut consulter son médecin et commencer un traitement médicamenteux, dès l'apparition des premiers symptômes.
3- : Le zona peut également être qualifié d'otitique lorsqu'il atteint le nerf appelé nerf de Wrisberg : les symptômes en sont alors une douleur d'oreille, une perte de sensibilité de la langue et parfois des vertiges ou troubles auditifs associés à une paralysie faciale.

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En règle générale, il reste clinique (description des symptômes et aspect des lésions) et il n'est, le plus souvent, pas besoin de faire d'autres examens.
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Le zona est stocké dans des ganglions nerveux après une varicelle et réapparait quand une personne a un système immunitaire affaibli. Le zona se propage par les nerfs vers la peau et les muqueuses pour créer des vésicules proches de celles de la varicelle. Elles se localisent souvent sur un seul côté du corps et sont remplies de pus. Le zona peut provoquer des douleurs chroniques, même après sa disparition. Le zona peut se transmettre par contact à toute personne non immunisée contre la varicelle.
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• les personnes âgées de plus de 50 ans (Le zona peut apparaître lorsque l'immunité de l'organisme diminue).
• les personnes immunodéprimées (celles atteintes du virus du sida, un cancer ou de pathologies infectieuses).
• les personnes sous traitement médicamenteux (corticoïdes par exemple).

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La majorité des atteintes par le zona sont tout à fait banales et guérissent spontanément, mais contrairement à la varicelle, le corps ne peut s'immuniser contre les récurrences sous forme de zona et la complication la plus fréquente est donc tout simplement « la récidive » (qui est cependant loin d'être systématique).
Il peut cependant survenir des complications plus ou moins graves, dans l'immédiat ou ultérieurement.
Phase aiguë :
- Douleurs post-zostériennes : une complication tardive et chronique du zona consistant en une douleur persistante à l'endroit de l'ancienne éruption.
- Complications neurologiques : paralysie faciale.
- Cicatrices inesthétiques.
- Baisse de l'acuité visuelle ou cécité (dans les suites d'un zona ophtalmique).

:
1- Le vaccin habituel contre la varicelle chez le nourrisson.
2- L’injecté chez la personne âgée, il permet de diminuer de près de 50 % le risque de développer un zona.
3- Le lavage des mains aide à prévenir la transmission du virus.
4- l'infection pourrait avoir des conséquences graves doivent redoubler de prudence : c’est le cas, par exemple, des femmes enceintes (l’infection peut être dangereuse pour le fœtus).

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• Les traitements locaux permettent d'éviter la surinfection bactérienne des vésicules.
• L'utilisation d'un savon dermatologique, l'application d'antiseptiques locaux sont conseillés.
• Les antalgiques permettent d'atténuer les douleurs.
• Des traitements antiviraux peuvent être prescrits chez certaines personnes mais ils doivent être pris dans les 3 premiers jours suivant l'apparition des premières lésions.

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• Toilette à l'eau tiède avec savon non agressif.
• Antiseptique après la toilette : ce traitement est destiné à éviter la surfection bactérienne.
• Si le patient le supporte et qu'il n'y a pas de lésions à vif par grattage, l'alcool à 70° peut être utilisé.

26/09/2018

________________ L'escarre ________________



'escarre

'escarre

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Définition d'une escarre
Une escarre est une zone localisée d'ischémie (manque d'oxygène) causant une souffrance de la peau et des tissus sous-cutanés, causée par la pression, le cisaillement et/ou le frottement de la peau. Elle commence par une rougeur ne s'effaçant pas lorsqu'on appuie sur la peau et évolue en plaie pouvant aller jusqu'à l'os

Les différents types d'escarre

On distingue quatre stades dans l'évolution des escarres :

1 : Rougeur ne blanchissant pas à la pression, sur une zone d'appui constant (fesse, talon...). Dès ce stade il peut exister une destruction des tissus sous cutanés, les muscles notamment, beaucoup plus sensibles à l'hypoxie que la peau.

2 : Plaie superficielle de la peau à type d'abrasion ou simple bulle

3 : Plaie profonde de la peau touchant l'épiderme, le derme et les tissus sous cutanés mais ne touchant pas les muscles sous-jacents

4 : Plaie allant jusqu'au muscle voire l'os.

l'escarre ::--

L'escarre est liée à la pression constante, voire le cisaillement et/ou un frottement chronique de la peau, engendrant une baisse de vascularisation (ischémie) et donc d'oxygénation des tissus. Les muscles sont plus sensibles à l'ischémie que la peau, une escarre débutante sans plaie cutanée peut donc déjà comporter des lésions musculaires sous jacentes.

de développer une escarre ?

Les personnes à risque sont les personnes immobilisées ou grabataires telles que les patients hospitalisés et alités de façon prolongée, les patient paraplégiques en fauteuil roulant ...

'escarre

Le diagnostic de l’escarre se fait lors de l'observation régulière de la peau par l'équipe soignante, partiulièrement en regard des proéminences osseuses, par la découverte d'une simple rougeur persistante de la peau ne s'effaçant pas lorsqu'on appuie dessus. Cela est le stade 1 de l'escarre. Malheureusement, parfois le diagnostic est plus tardif, notamment chez des personnes en fauteuil roulant qui ont perdu toute sensibilité (paraplégie...) par la découverte d'une plaie constituée sur une zone "cachée" : bas du dos, fesse...

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Même une escarre de stade 1 peut comporter des lésions musculaires sous jacentes. Il ne faut donc jamais négliger les escarres. Elles sont susceptibles d'évoluer aux stades suivants assez rapidement en l'absence de mise en place d'un traitement adéquat. Les principales complications de l'escarre sont :

la douleur chez les personnes ayant encore une sensibilité cutanéela surinfection de la plaie et des tissus nobles sous jacents (ostéite)l'absence de cicatrisation malgré un traitement bien conduit

'escarre:--

Comment reconnaître l'apparition d'une escarre ?

L'apparition d'une escarre se caractérise par une simple rougeur persistante de la peau ne s'effaçant pas lorsqu'on appuie dessus. C'est le stade 1 de l'escarre.

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Les facteurs de risque de l'escarre sont :

***l'immobilisation d'un patient au fauteuil ou au lit, provoquant une pression constante sur la peau, voire un cisaillement de la peau et/ou un frottement chronique sur les zones de proéminence osseuse : sacrum, fesse, hanches, chevilles, coudes, partie postérieure du crâne en contact avec le lit...
***absence de matériel limitant le risque d'escarre : lit ou fauteuil anti-escarre, de coussins limitant les appuis prolongés ou cales de mousses évitant le contact direct des proéminences osseuses entre elles (les genoux, les talons ou les chevilles...)
***absence de changement de position régulière d'un patient (si son état de santé le permet)
***absence ou diminution de sensibilité à la douleur d'un patient
***absence de techniques de positionnement et de transfert correctes d'un malade immobilisé, ayant pour but de limiter les frottements et le cisaillement de la peau
**zones d’humidité excessive liées à l’incontinence, la transpiration ou les exsudats des plaies
***dénutrition ou état cachectiqueabsence de soins de kinésithérapie et de rééducation en vue d’une reprise de l’autonomie et de la marche, lorsque l’état de santé du patient

27/05/2018

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Lovenox est un médicament qui appartient à la classe des héparines de bas poids moléculaire. Il s'agit d'un anticoagulant utilisé pour traiter ou prévenir une thrombose veineuse ou artérielle (formation d'un caillot dans une veine ou une artère). Lovenox se présente sous la forme d'une solution injectable qui s'administre par voie sous-cutanée ou intraveineuse.
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L'enoxaparine est une substance active utilisée pour ses propriétés anticoagulantes. Elle est indiquée pour prévenir les accidents thromboemboliques tels que les thromboses veineuses profondes (ou phlébites) et les embolies. Son nom commercial est Lovenox. Elle se présente sous forme de solution injectable et s'administre par voie sous-cutanée. Lovenox est contre-indiqué s'il existe un risque d'hémorragie et déconseillé en cas d'insuffisance rénale sévère. Des hématomes au point d'injection et des thrombopénies ont été rapportés chez certains patients.
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Lovenox est essentiellement indiqué dans le traitement curatif ou préventif d'une thrombose (parfois accompagnée d'une embolie pulmonaire). Il est également administré en association avec l'aspirine aux patients qui souffrent d'un angor instable (forme d'angine de poitrine) ou d'infarctus du myocarde (crise cardiaque) en association avec un traitement thrombolytique. La dose recommandée dépend de la pathologie à traiter et du mode d'administration.
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Lovenox est contre-indiqué chez les personnes qui présentent une hypersensibilité à l'énoxaparine, à l'héparine ou une autre substance qui entre dans sa composition et en cas d'hémorragie intracérébrale ou de blessure qui élève le risque de saignement. Ce médicament est aussi contre-indiqué chez les patients qui ont des antécédents de thrombopénie (diminution du nombre de plaquettes sanguines) ou des troubles de la coagulation.
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La fréquence des effets indésirables associés aux traitements par Lovenox varie selon l'âge et le poids du patient, une éventuelle insuffisance rénale et l'association avec d'autres médicaments. Des réactions sur le site de l'injection ont été rapportées (rougeur, inflammation, hématome, démangeaisons), ainsi que des thrombopénies. Plus rarement, Lovenox peut provoquer une ostéoporose, une hyperkaliémie (taux élevé de potassium dans le sang) ou une vascularite (inflammation des parois des vaisseaux sanguins).
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Préparation du site d’injection :
Avant de procéder à l’injection, lavez-vous les mains et séchez-les. Nettoyer (sans frotter) avec un tampon imbibé d'alcool la zone choisie pour réaliser l’injection.
Choisissez une zone différente de l’abdomen pour chaque injection.
Retirer le bouchon de protection de l'aiguille.
L'apparition d'une goutte à l'extrémité de l'aiguille est possible. Dans ce cas, éliminer la goutte avant injection en tapotant sur le corps de la seringue (aiguille vers le bas).
· Procéder à l'injection :
La seringue pré-remplie est prête pour une utilisation immédiate ; ne pas purger la seringue avant injection. L'injection doit être réalisée, de préférence sur un patient allongé, dans le tissu cellulaire sous-cutané de la ceinture abdominale antérolatérale et postérolatérale, tantôt à droite, tantôt à gauche. L'aiguille doit être introduite perpendiculairement et non tangentiellement, dans l'épaisseur d'un pli cutané réalisé entre le pouce et l'index de l'opérateur. Le pli doit être maintenu durant toute la durée de l'injection.
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· Le système de sécurité s'active dans la continuité du geste lorsque le piston arrive en butée, protégeant ainsi entièrement l'aiguille souillée, sans procurer de gêne au patient.
Il est nécessaire d'appuyer à fond sur le piston pour déclencher le système de sécurité.
: Le système de sécurité ne peut être activé que lorsque la seringue est entièrement vide.
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Jeter immédiatement la seringue dans le container prévu à cet effet.
-conserver_Lovenov :
• N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’étiquette. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois.
• A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
• A conserver dans l’emballage d’origine.

12/04/2018
crise d'asthme aigue grave
12/04/2018

crise d'asthme aigue grave

12/04/2018

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La méningite correspond à l'inflammation des membranes enveloppant le système nerveux central (SNC) appelées « méninges ». La méningite est le plus souvent d'origine infectieuse et entraîne de manière commune une fièvre, des maux de tête et des signes neurologiques.
Plus dangereuses et qui doivent être soignées d'urgence. Les méningites bactériennes dues au méningocoque imposent un traitement de l'entourage du patient en raison de sa nature contagieuse. La méningite touche surtout les enfants et les jeunes adultes.
La méningite est une inflammation des méninges : les enveloppes de la moelle épinière et du cerveau dans lesquelles circule le liquide céphalorachidien.
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Cette forme de méningite ressemble, au début, à une grippe et entraîne rarement des complications. Généralement, les symptômes de rhume apparaissent puis, s’y associent des signes de méningite. Ces signes disparaissent d'eux-mêmes au bout de 2 semaines. Mais comme au début, on ne sait pas si la méningite est bénigne (due à un virus) ou peut-être grave (due à une bactérie), on hospitalise l’enfant un temps.
La méningite virale touche plus communément les enfants et les jeunes adultes. Comme pour la plupart des maladies virales, cette méningite ne peut pas être soignée avec des antibiotiques.
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La méningite d'origine bactérienne est plus grave. Elle peut évoluer extrêmement rapidement, entraîner des complications graves (surdité, atteinte du cerveau, épilepsie, déficience mentale, troubles de l’attention ou de l’apprentissage) et parfois mener à la mort (5% des cas) si elle n'est pas détectée et soignée à temps. C’est une urgence. Elle touche surtout les enfants, les adolescents et les jeunes adultes.
Il existe plusieurs types de méningites bactériennes, selon la bactérie en cause.
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Différents agents infectieux sont impliqués dans les méningites. L'inflammation peut avoir pour origine un virus, il s'agit dans ce cas du type de méningite le plus répandu (environ 70% des cas de méningites), généralement bénigne, à caractère saisonnier. Une bactérie peut être en cause : ce type de méningite est moins fréquent mais potentiellement plus sévère, pouvant engager le pronostic vital du patient. Les méningites bactériennes peuvent être associées à des signes neurologiques identiques aux encéphalites, elles sont alors désignées sous le terme de « méningo-encéphalite ». Un parasite peut être en cause dans de très rares cas.
:
• Fièvre élevée et confusion
• Des maux de tête violents.
• Une raideur dans la nuque.
• Nausées et vomissements.
• Une flexion involontaire des membres inférieurs.
• La photophobie ou la phonophobie.
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• L'âge (nourrissons, personnes âgées).
• La transmission d'agents infectieux par les voies respiratoires.
• L’affaiblissement du système immunitaire sont autant de facteurs de risques.
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• Une septicémie (la méningite d'origine bactérienne).
• Une surdité bilatérale.
• Un coma.
• Des troubles de la mémoire.
• Une paralysie des nerfs crâniens.
• Des troubles du comportement.
• Un re**rd mental.
• Une épilepsie.
• Dans des situations dramatiques conduire au décès.
:
En cas de suspicion de méningite, une consultation en urgence doit être faite. La présence d'un purpura, taches rouges d'apparition soudaine qui ne disparaissent pas à la pression, doit être recherchée. La prise en charge de la suspicion de méningite est hospitalière avec la réalisation d'une ponction lombaire qui est un prélèvement de liquide céphalo-rachidien effectué à proximité de la colonne vertébrale. L'analyse de ce liquide en laboratoire (aspect, nombre et type de cellules, biochimie, examen bactériologique direct et culture) pourra confirmer la méningite et déterminer si elle est causée par un virus ou par une bactérie. Dans certains cas, un scanner peut être réalisé avant la ponction. Parallèlement, une prise de sang sera faite et mise en culture.
La méningite d'origine bactérienne nécessite un traitement par antibiothérapie, dont le choix est orienté en fonction des résultats de l'examen direct du LCR, et de certains signes de gravité.
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Le traitement de la méningite doit être rapide. En cas d'existence d'un purpura associé au syndrome méningé, des antibiotiques sont donnés avant même les résultats de la ponction lombaire, parfois même avant sa réalisation si la ponction ne peut pas être pratiquée dans un délai suffisant. En cas de signes gravité, ils seront donnés après la prise de sang et avant la ponction. Dans les autres cas, l'analyse du liquide céphalo-rachidien est nécessaire pour savoir si les antibiotiques sont nécessaires. Des corticoïdes peuvent également être prescrits en fonction des cas.
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La méningite bactérienne à méningocoque étant contagieuse par contact respiratoire, il faut être très prudent et mettre en place des mesures d'isolement en cas de suspicion. Si le germe identifié est le méningocoque, l'entourage et les professionnels ayant été en contact avec le patient doivent prendre un traitement préventif. Une déclaration du cas à l'Agence régionale de santé est également obligatoire. La vaccination est dorénavant préconisée pour les enfants. D'autres bactéries ou virus responsables de méningites sont prévenus par la vaccination.
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Un vaccin est également disponible en prévention (partielle) de la méningite à le méningocoque chez l'enfant, et en prévention de Haemophilus influenzae (deux injections avant l'âge de 18 mois
infimier karim

 :est un blocage partiel ou complet de l’intestin, qui empêche le transit normal des matières fécales et des gaz.Ce bloc...
17/12/2017

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est un blocage partiel ou complet de l’intestin, qui empêche le transit normal des matières fécales et des gaz.Ce blocage peut se produire aussi bien

dans l’intestin grêle que dans le côlon.

'est l'arrêt du transit intestinal.


Les occlusions intestinales représentent 10 à 20% des douleurs abdominales de l'adulte et la deuxième cause d'hospitalisation en chirurgie après l'appendicite.

Le point sur cette pathologie qui nécessite une hospitalisation.

Elle peut être due à une absence de contractions des muscles de l'intestin, souvent d'origine neurologique.

une inflammation ou une infection, une douleur ou dans les suites d'une opération, à une torsion d'une partie du tube digestif.

une obstruction de la lumière intestinale par une tumeur, une accumulation de matières ou une compression exercée par une structure extérieure.

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# adhérences intestinales peuvent bloquer le transit intestinal et provoquer une occlusion. Les adhérences intestinales survenant le plus souvent après une intervention chirurgicale, sont les principales causes d'une occlusion

survenant au niveau de l'intestin grêle.

# iléus paralytique. Il s'agit d'une anomalie de fonctionnement des intestins qui empêche la bonne régulation du transit intestinal.En général, un iléus paralytique

survient après un acte chirurgical pratiqué sur l'intestin comme une appendicite, une péritonite, ou une pancréatite.

causes de l'obstruction intestinale survenant au niveau du côlon sont essentiellement les tumeurs ou des diverticules.

CAUSES POSSIBLES

un épanchement de sang intrapéritonéal ou sous-péritonéal (par exemple, après une fracture du bassin)
un épisode douloureux intrapéritonéal

ou rétropéritonéal (par exemple, une colique hépatique ou une colique néphrétique).

:

Les principaux symptômes de l'occlusion intestinale aiguë sont les douleurs abdominales.

une augmentation du volume de l'abdomen appelé météorisme abdominal.

un arrêt des selles et des gaz ainsi que des vomissements. Lors d'une occlusion du colon, une constipation peut également survenir.

:

L'examen clinique avec la pratique d'une palpation abdominale puis un toucher re**al.

l'ASP (Abdomen sans préparation).

le scanner abdominal pour localiser plus précisément l'obstacle et déterminer son type.

le prélèvement sanguin pour rechercher d'éventuels signes de gravité en présence desquels le malade sera dirigé vers la réanimation.

Si nécessaire, le lavement baryté se fait sans pression, avec prudence.



:

Une occlusion intestinale qui n'est pas prise en charge en urgence peut provoquer un décès.

des troubles graves du métabolisme (déshydratation, troubles cardiaques, insuffisance rénale...) .

une perforation de l'intestin avec infection de la cavité péritonéale par les germes contenus dans le tube digestif péritonite .

une nécrose d'une partie d'un organe digestif lors d'une strangulation de durée trop longue ou un état de choc.

Si l’obstruction intestinale n’est pas traitée à temps, elle peut dégénérer et entraîner la mort (nécrose) de la partie de l’intestin qui est bloquée.

Hémorragies digestives.

Pneumopathies par inhalation de vomissement.



Le traitement dépend de

l'origine de l'occlusion intestinale

la localisation

la gravité.

Une sonde d'aspiration digestive est mise en place ainsi qu'une voie d'abord vasculaire.

Rééquilibration hydro-électrolytique, transfusions sanguines si nécessaire.

antibiothérapie sont systématiques.

L'intervention chirurgicale est une urgence. La voie d'abord est médiane sous-ombilicale.

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-A l’arrivée du malade, l’infirmier doit créer un climat de confiance et de calme.

- Préciser l’heure de l’apparition des douleurs et celles des derniers gaz et matières.

- Préciser l’heure de l’apparition des douleurs et celles des derniers gaz et matières.

- Noter les principales variations de la T.A. le pouls, la température, la coloration des téguments.

- Placer le cathéter dans la veine et prélever le sang (hémoglobine ionogramme) et l’envoyer immédiatement au labo.

- Respecter la réanimation hydro électrolytique installer une aspiration gastrique continue par une sonde nasogastrique.

- Faire en urgence RX pulmonaire, ASP, ECG.

- Faire un champ opératoire très large et selon les habitudes du service.

- Enlever la prothèse dentaire.

- Accompagner le patient avec son dossier au bloc opératoire à l’heure fixe.



EN POST OPERATOIRE :

· Accueil de l’opérer tout en préparant son lit

· Surveillance immédiate des constantes

· Faire le premier levé

· Administrer les ATB selon prescription médicale

· Informer le malade sur interdiction d’alimentation avant la reprise du transit

· Faire les pansements avec asepsie rigoureuse et sur avis médical

· IEC portant sur le pansement et le suivie de traitement.





? :

Consultez votre médecin dès que les symptômes se manifestent.

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Marrakesh

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+212634429210

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