Nicolas · Coaching & Hypnose Intégrative

Nicolas · Coaching & Hypnose Intégrative Coaching, Psycho-Pratiques, Hypnose, Soins Énergétiques & Méthode RESTORE.
(1)

Imaginez que vous vous réveillez chaque matin avec le sentiment que le monde vous appartient 😀

Ne serait-ce pas agréable ? 🤗

La vie est parfois difficile, et l'aide d'un Hypnothérapeute peut vous aider à dépasser vos blocages et à y voir plus clair 🤝

Certifié en hypnose Ericksonienne, je suis là pour vous fournir les outils afin d'apprendre à surmonter les épreuves que vous traversez, vous aider, vous accompagner. Ma priorité..votre épanouissement et votre évolution future 🙏

A très bientôt,

Nicolas.

Et si commencer un accompagnement n’était pas du tout ce que tu crois ?☀️On croit souvent qu’aller voir quelqu’un, c'est...
21/09/2025

Et si commencer un accompagnement n’était pas du tout ce que tu crois ?☀️

On croit souvent qu’aller voir quelqu’un, c'est réservé à une catégorie de personnes ou à celles et ceux qui sont au bord du précipice. Comme si demander du soutien, c’était une honte, une proposition à reconnaitre en dernier recours, révélant que l'on n’a pas su tenir debout tout seul.

Alors souvent on attend. On serre les dents. On se persuade que ça finira par passer...mais si c’était exactement l’inverse ?...Et si la vraie force n’était pas de tout porter seul, mais de tendre la main avant de s’écrouler ?

Arrêtons de voir la décision de se faire accompagner comme un Échec. C’est une porte ouverte vers la Réconciliation avec des parts de nous (anciennes ou présentes) que l'on ose pas observer ou mettre en lumière à la hauteur à laquelle notre organisme intérieur le demande. Ce premier pas est souvent un choix important, celui de recevoir un peu d'aide afin d’habiter pleinement sa vie, plutôt que de la traverser en apnée.

Ce n’est pas forcément s’enfermer dans des années de discussions sur un divan et/ou ressasser les mêmes histoires en boucle. Parfois, il suffit d'être pris par surprise, par la bienveillance de notre accompagnant, d'un recadrage bénéfique, de quelques minutes de vérité, d’un moment de vulnérabilité, d'un mot, d’une image, d’un souffle, pour que quelque chose bascule.

Peu importe la méthode ou la porte d’entrée : ce qui compte, c’est l’espace qui s’ouvre. Un espace où l'on peux enfin exister librement, sans rôle, sans masque, sans performance.

Alors souvent on pense...: “Oui, mais est-ce que ça marche vraiment ?”

=> Et si la vraie réponse, c’était que ça ne marche pas tout à fait comme on se l’imagine ? Il existe évidemment des moments spectaculaires, certains instants ou le temps s'arrête et où tout s’éclaire à nouveau...mais la plupart du temps, ce qui arrive est plus subtil. Plus intime. C’est ce moment où tu respires autrement. Où la peur recule d’un pas. Où tu surprends ton corps à se détendre sans prévenir. Où tu réalises que tu ne réagis plus de la même façon à cette situation qui, hier encore, te terrassait. C’est discret. C’est presque invisible. Et c’est pourtant immense.

Souvent, ça débute par un geste dérisoire : se renseigner, écrire un message, décrocher son téléphone, accepter une rencontre.

Carl Rogers le disait avec une évidence désarmante : "Chaque personne porte en elle les ressources nécessaires à sa croissance." Oui car un accompagnant ne vient pas t’imposer une vérité unique. Il ne te donne pas un mode d’emploi. Il t’offre une présence. Une qualité d’écoute qui te rappelle que tu n’es pas brisé, seulement en train de te retrouver. Il devient ce miroir bienveillant qui te renvoie une image oubliée : celle de ta propre force, déjà là, silencieuse, intacte.

C’est l’art subtil de créer les conditions pour que tu redécouvres ce que tu portes déjà en toi. Et c’est là que tout change. Parce que ce n’est jamais un chemin pour devenir quelqu’un d’autre. C’est un retour vers soi. Et parfois, il n’y a rien de plus magique que ça.

Nicolas 21/09/25
LE MANA - Île Maurice

Si tu lis ces lignes, c’est peut-être que quelque chose en toi cherche du soutien. Un espace pour déposer, démêler, resp...
23/07/2025

Si tu lis ces lignes, c’est peut-être que quelque chose en toi cherche du soutien. Un espace pour déposer, démêler, respirer.
Je suis là, en visio, à ton rythme, pour t’aider à traverser ce que tu ressens, avec douceur et clarté.

🗓️ Du lundi au mercredi - sur réservation :
https://www.nicolastible.fr/calendly

🌐 En savoir plus :
https://www.nicolastible.fr

12/05/2025
« Chaque individu a en lui des capacités considérables de se comprendre, de changer l'idée qu'il a de lui-même, ses atti...
11/05/2025

« Chaque individu a en lui des capacités considérables de se comprendre, de changer l'idée qu'il a de lui-même, ses attitudes et sa manière de se conduire; il peut puiser dans ces ressources, pourvu que lui soit assuré un climat d'attitudes psychologiques facilitatrices que l'on peut déterminer. »
Carl Rogers.

Cette citation de Carl Rogers me touche parcequ'elle résume parfaitement ce que j’observe chaque jour dans mon travail avec l'Humain. Nous avons tous en nous des ressources insoupçonnées pour nous comprendre, pour changer, pour avancer. Parfois, il suffit d'une présence, d’un petit éclairage extérieur, d’un regard bienveillant, pour que ces capacités se révèlent.

Ce que j’aime dans cette idée, c’est que le changement ne dépend pas uniquement de ce que nous faisons, mais aussi de l’espace dans lequel nous nous trouvons. Un espace de confiance, d’acceptation, de présence, où nous pouvons être simplement nous-mêmes, sans jugement. Alors souvent, la magie opère.

Mais, de la même manière que la nature est faite de tout et son contraire, du yin et du yang, de la vie et de la mort, du jour et de la nuit, de notre lumière et de nos ombres, il y a aussi un doux paradoxe que j’aime intégrer dans mon approche. Parfois, pour que certaines réalisations naissent, il peut-être juste de savoir mettre un peu de mouvement, déranger les habitudes, questionner les croyances, remettre en question les certitudes. D’autres fois, il est essentiel de simplement écouter, sans condition, offrir un espace de calme et d’accueil. L’un n’empêche pas l’autre..au contraire, c’est aussi dans cet équilibre subtil qu'une évolution pérenne devient possible.

En tant qu’accompagnant, ma présence n’est pas de vous imposer un nouveau chemin, mais de vous accompagner à retrouver ce que vous portez déjà en vous, de vous permettre la possibilité d'observer vos angles morts tout en vous essayant de vous offrir ce climat de sécurité et de bienveillance où vous pouvez grandir à votre rythme...parfois en écoutant, parfois en mettant du mouvement, mais toujours en respectant votre parcours.

Nicolas.

Tu ressens que quelque chose bloque..? Besoin de faire le point, transformer, travailler certaines problématiques.. ? C’...
15/04/2025

Tu ressens que quelque chose bloque..? Besoin de faire le point, transformer, travailler certaines problématiques.. ? C’est peut-être le bon moment de te faire accompagner à l’exploration de tes ressources inconscientes.

Consultation du Jeudi au Samedi dans mon cabinet à Tamarin ou en Visio, sur réservation, au 5503 0244

Pour plus d’information ou avis sur ma pratique, n’hésite pas à consulter ma page « Nicolas · Coaching & Hypnose Intégrative ».

📍 Google map & avis : https://g.co/kgs/eMtDJu4

Voici 3 citations de Confucius qui guident mon accompagnement : ⏳« On a 2 vies et la deuxième commence quand on se rend ...
25/02/2025

Voici 3 citations de Confucius qui guident mon accompagnement :

⏳« On a 2 vies et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on n’en a qu’une ».
Le moment précis où les patients décident de consulter et se tournent vers la thérapie brève, et vers des praticiens formés à des techniques de changement, relève pour moi de cette prise de conscience. Peu importe le moment de la vie où ça arrive. Peu importe que l’on ait déjà beaucoup consulté (ce qui a marché ou n’a pas marché précédemment est en soi une information précieuse) ou jamais consulté. Comme l’écrivaine George Eliot le disait : « Il n'est jamais trop t**d pour devenir ce que l'on aurait pu être »...

🎣« Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner du poisson ».
Il est facile de faire à la place des patients -ou même d’amis- ce qui nous semble le mieux pour lui ou pour elle. Mais s’il n’y a eu aucune demande explicite dans ce sens, nos conseils non demandés, même les plus bienveillants au monde, risquent de rester des coups d’épée dans l’eau. Et surtout, si la situation se reproduit, la personne risque de redemander de l’aide alors qu’elle pourrait y arriver seule. Le but de la thérapie ou du coaching est de développer l’autonomie, pas la dépendance. Utiliser ses insomnies, gérer sa colère quand elle est devenue excessive et éloigne les autres, corriger son dialogue interne devenu extrêmement toxique relève d’exercices qui seront utiles tout au long de la vie. Aucun thérapeute ne peut garantir que les insomnies ou la colère ne reviendront pas. De toute manière, ces dernières sont des systèmes d’alerte de quelque chose qui ne va pas et doit être réglé. Il faut connaître ses systèmes d’alertes et s’assurer qu’ils fonctionnent de manière normale et mesurée.

🌀« Nous sommes ce que nous répétons chaque jour. L’excellence n’est alors plus un acte mais une habitude ».
Changer ses habitudes n’a rien de naturel et demande un effort. La difficulté est d’arriver à maintenir ces nouveaux apprentissages -ces nouveaux réflexes- suffisamment longtemps pour qu’ils deviennent « naturels ». La rechute fait partie de ce processus de changement. Quand nous allons mieux, nous oublions parfois que pour arriver à cet équilibre, nous avons commencé à faire, dire ou penser des choses nouvelles ou, au contraire, nous avons arrêté de faire, dire ou penser certaines choses qui ne nous aidaient pas. Et nous recommençons à prendre nos vieilles habitudes. C’est dans l’échange avec le thérapeute lors de rechutes que nous pouvons prendre conscience de l’utilité de ces changements et des exercices qui y sont associés.

Si vous souhaitez consulter car vous voulez changer certaines croyances limitantes, certains réflexes ou certains comportements qui empoisonnent votre vie, n’hésitez pas à prendre rendez-vous.

Quand la colère devient excessive…😤😡🤬La colère est, comme toute émotion, un système d’alerte qui nous alerte lorsque nos...
18/02/2025

Quand la colère devient excessive…😤😡🤬

La colère est, comme toute émotion, un système d’alerte qui nous alerte lorsque nos valeurs ne sont pas respectées. Des valeurs universelles comme l’amour, l’amitié mais aussi la sécurité, le respect, la confiance, l’honnêteté, la justice, la liberté, la solidarité, le travail bien fait… Comme tout système d’alerte, il se met en marche pour signaler qu’on doit agir pour régler une situation, puis il se remet en veille.

Mais parfois, la colère envahit toute la vie de la personne. Lorsque le barrage de colère est trop plein, depuis trop longtemps, le risque est que cela affecte la santé physique et mentale de la personne et nuise à ses relations. Elle peut aussi altérer le jugement de la personne

Voici deux textes qui explicitent les dangers de rester en proie trop longtemps à la colère, et notamment ses dérivés les plus forts comme la rage ou la haine.

« En cédant à la haine, nous ne faisons pas nécessairement du tort à notre ennemi, mais nous nuisons à coup sûr à nous-même. Nous perdons notre paix intérieure, nous ne faisons plus rien correctement, nous digérons mal, nous ne dormons pas, nous faisons fuir ceux qui viennent nous voir, nous lançons des regards furieux à ceux qui ont l’audace d’être sur notre passage. Nous rendons la vie impossible à ceux qui habitent avec nous et nous éloignons même nos amis les plus chers. Et comme ceux qui compatissent avec nous se font de moins en moins nombreux, nous sommes de plus en plus seuls […]. A quoi bon ? Même si nous allons jusqu’au bout de notre rage, nous n’éliminerons jamais tous nos ennemis. Connaissez-vous quelqu’un qui y soit parvenu ? Tant que nous hébergeons en nous cet ennemi intérieur qu’est la colère ou la haine, nous aurons beau détruire nos ennemis extérieurs aujourd’hui, d’autres surgiront demain ». Le VIIe Dalaï Lama

« On doit pardonner à tous ceux qui nous ont fait du tort, non pas parce qu’ils méritent d’être pardonnés, mais parce qu’on s’aime tellement soi-même, qu’on ne veut plus payer pour les injustices passées. Le pardon est la seule façon de guérir ». Don Miguel Ruiz

Si vous pensez être en proie à une colère excessive depuis trop longtemps, n’hésitez pas à prendre rdv. Car la colère, bien canalisée, permet aussi de passer à l'action...

Comprendre et sortir du burn-out 🚧Le burn-out, ou syndrome de l’épuisement professionnel, est un ensemble de réactions p...
11/02/2025

Comprendre et sortir du burn-out 🚧

Le burn-out, ou syndrome de l’épuisement professionnel, est un ensemble de réactions physiologiques et psychologiques consécutives à des situations de stress professionnel chronique et répété. C’est un processus lent et insidieux, avec plusieurs niveaux de gravité selon le moment où la personne est prise en charge.

Les symptômes du burn-out sont nombreux. Le premier, et le plus facilement identifiable, est une fatigue continue, accompagnée d'épuisement mental, de déprime, de démotivation. Une baisse de l'estime de soi, un sentiment d'incompétence mais aussi l'irritabilité ne sont pas à négliger. Des insomnies et des troubles psychosomatiques peuvent s'installer (mal de dos, maux de têtes, eczéma, vertiges…).

Il peut toucher tout le monde mais certaines personnes sont plus à risque : des personnes très engagées dans l’entreprise, avec des idéaux élevés, plus perfectionnistes que la moyenne, ne comptant pas leurs heures, ayant un fort besoin de reconnaissance et / ou du mal à déléguer, avec une plus forte propension à l'anxiété ou une tendance à éviter les conflits. La mutation actuelle du monde professionnel -la course à l’hyperactivité & à la performance, la spécialisation des métiers et des tâches, le management matriciel ou encore le travail à distance permis par les nouvelles technologie- amplifient souvent la perte de sens, le manque d’autonomie ou de reconnaissance perçu, un sentiment d’isolement.

Il s’agit d’un cercle vicieux : la fatigue intense rend la personne moins concentrée, moins efficace, plus anxieuse de faire des erreurs. Pour compenser, elle a tendance à augmenter ses horaires de travail, sur son lieu de travail ou même chez elle, à y penser tout le temps, quitte à ce que cela tourne à l’obsession, de jour comme de nuit , car souvent les insomnies arrivent. C’est souvent ces dernières qui conduisent la personne à consulter son médecin généraliste, à prendre des médicaments pour dormir (somnifères) ou pour tenir le coup (anxiolytiques), parfois sans le dire à son entourage, et à minimiser des troubles psychosomatiques qui apparaissent. L’entourage professionnel peut involontairement s’adapter à ce changement : plus la personne est fatiguée, moins elle a l’énergie de dire non et plus l'entourage insiste, plus elle évite des conflits potentiels, plus elle risque à long terme d'augmenter encore plus sa charge de travail ou son insatisfaction. Et si cela dure trop longtemps, le burn-out s’aggrave, les arrêts maladies peuvent s’enchaîner, quitte à compromettre le retour de la personne.

Pourtant, pris à temps, le burn-out n’est pas insoluble. La psychothérapie peut aider une personne à prévenir le burn-out ou, plus t**d, à s’en sortir.

Elle permet notamment de bien faire la différence entre un burn-out et une dépression. Assez souvent, les patients confondent les deux. Le propre du burn-out est qu’il est passager et strictement lié au travail. La personne en burn-out va se sentir mieux lorsqu’elle n’est plus au travail, même si ses angoisses redoublent à l’approche de la reprise (dimanche soir ou lundi matin, derniers jours des vacances…). Au contraire, la dépression a des répercussions sur toutes les sphères de la vie (professionnelle mais aussi familiale, sentimentale, amicale…) et est souvent liée à un événement particulier de la vie (traumatisme de l’enfance, peur de l’engagement, envie d'avoir des enfants…). Lorsque les facteurs de stress qui provoquent le burn-out prennent fin, la personne atteinte d’épuisement professionnel va se remettre, tandis que le dépressif ne remontera pas la pente aussi facilement. Le burn-out peut entraîner une dépression quand il se généralise.

En cas de burn-out, les TCC, et notamment la thérapie systémique, permettent de bien cerner le problème, de changer certaines croyances limitantes, de vaincre certaines peurs (peur d’échouer, d’être mal jugé, d’être viré…) et de mettre en œuvre des nouveaux apprentissages et comportements pour changer les relations avec sa hiérarchie, ses collègues ou son équipe. Cela prend en moyenne 5 à 10 séances. Une fois la situation apaisée, le coaching professionnel peut éventuellement prendre le relai pour passer ses messages plus efficacement, retrouver sa confiance en soi ou poursuivre sa carrière en interne (maximiser ses chances d’obtenir une promotion) ou externe (préparer une reconversion).

Le burn-out n’est donc pas une fatalité. Plus il est pris en charge tôt, plus rapide est l’accompagnement.

Si vous souhaitez consulter à ce sujet, n'hésitez pas à prendre rendez-vous. Consultations à Tamarin en présentiel ou en Visio du Jeudi au Samedi.

Les 5 langages de l'amour 💖Le livre "Les 5 langages de l'amour" de Gary Chapman explore les différentes manières dont le...
04/02/2025

Les 5 langages de l'amour 💖

Le livre "Les 5 langages de l'amour" de Gary Chapman explore les différentes manières dont les individus expriment et reçoivent l'amour. Selon Chapman, chaque personne a un "langage" spécifique qui lui permet de se sentir aimée et appréciée. Comprendre et parler le "langage" de son partenaire est essentiel pour entretenir une relation amoureuse épanouissante.

Voici les cinq langages de l'amour décrits par Gary Chapman :

Les paroles valorisantes : Ce langage de l'amour consiste à utiliser des remerciements, des encouragements, des compliments et des expressions positives pour exprimer son amour et son appréciation envers son partenaire ou ses projets. Les personnes qui ont ce langage de l'amour se sentent aimées lorsque leur partenaire leur témoigne verbalement leur affection.

Les moments de qualité : Ce langage de l'amour implique accorder une attention exclusive et de la qualité à son partenaire (sans prendre des appels téléphoniques ou consulter tout le temps sa messagerie). Il s'agit de passer du temps ensemble, sans distractions, et d'engager une réelle connexion émotionnelle. Cela peut prendre la forme d’un verre ou d’un café ensemble ou encore d’activités que l’on partage à deux ou de nouvelles activités que l’on découvre ensemble. Les personnes qui ont ce langage de l'amour se sentent aimées lorsqu'elles peuvent partager des moments intimes et significatifs avec leur partenaire.

Les cadeaux : Ce langage de l'amour se réfère à l'utilisation de cadeaux symboliques pour exprimer son affection. Ce ne sont pas nécessairement des cadeaux mais plutôt des présents qui montrent que l'autre personne a pensé à vous. La valeur du cadeau en question compte moins que l’attention. Cela peut être le nouveau livre de l’auteur préféré de l’autre personne. Il faut faire bien attention à cibler ce qui plait à l’autre et qui peut différer de ce qui vous plait à vous. Il faut aussi veiller à bien s’adapter dans le temps si l’on s’est trompé; c'est bien sûr plus simple quand l'autre vous guide (par exemple : je n'aime pas trop les fleurs/les bijoux, je préfère le bleu au vert... Les personnes qui ont ce langage de l'amour se sentent aimées lorsqu'elles reçoivent des cadeaux qui témoignent de l'attention et de l'amour de leur partenaire.

Les services rendus : Ce langage de l'amour se manifeste par des actes concrets et serviables qui soulagent le fardeau de l'autre personne. Il peut s'agir de faire des tâches ménagères, d'offrir de l'aide dans des projets (comme un déménagement) ou de prendre en charge certaines responsabilités (comme l’organisation des vacances). Les personnes qui ont ce langage de l'amour se sentent aimées lorsque leur partenaire leur rend service de manière désintéressée. Car rendre des services en attendant la réciproque immédiate peut s’avérer contre-productif, notamment si l’autre n'utilise pas ce langage de l’amour….

Le toucher physique : Ce langage de l'amour utilise le contact physique pour exprimer l'amour et l'affection. Il peut s'agir de câlins, d'embrassades, de gestes tendres, de tenir la main ou de toute autre forme de contact physique. Les personnes qui ont ce langage de l'amour se sentent aimées lorsqu'elles reçoivent une affection physique régulière de la part de leur partenaire.

S’il vous semble difficile d’identifier votre langage d’amour préférentiel, voici trois questions qui pourraient vous aider :
1. Qu’est-ce que votre partenaire ne fait pas et qui vous blesse le plus?
2. Que demandez-vous le plus souvent à votre partenaire?
3. Comment avez-vous l’habitude de démontrer votre amour? Est-ce que votre partenaire fonctionne comme vous ?

Selon Chapman, comprendre le langage de l'amour de son partenaire et lui exprimer l'affection dans ce langage spécifique est essentiel pour cultiver une relation saine et épanouissante. Il souligne également que les individus peuvent avoir un langage principal de l'amour, mais peuvent également apprécier / se forcer un peu à appliquer les autres langages, en tout cas dans une certaine mesure. Parfois les langages de l’amour des deux partenaires se rejoignent et parfois ce n’est pas le cas. Mais il y a une différence entre n’avoir aucun langage d’amour envers son partenaire et en avoir un, mais différent de son partenaire. En thérapie conjugale, on constate parfois qu’il n’y en a aucun d’un côté. La relation est à sens unique et la personne qui en souffre reste quand même dans la relation, constamment déçue, risquant de devenir colérique ou triste. Quand les langages de l’amour des deux partenaires diffèrent, soit l’un des deux/chacun s’ajustera un peu, soit celui qui en souffre acceptera que l’autre l’aime à sa façon ; alors les efforts constants pour changer l’autre diminueront et la relation deviendra plus sereine. La communication ouverte et l'écoute mutuelle sont donc importantes pour découvrir et répondre aux besoins affectifs de chacun.

Si vous souhaitez consulter pour identifier votre langage ou essayer de vous ajuster avec votre partenaire, n'hésitez pas à prendre rendez-vous. Consultation du Jeudi au Samedi en présentiel à Tamarin ou en Visio.

Comment sortir du triangle dramatique de Karpman ?Le triangle de Karpman, également connu sous le nom de triangle dramat...
29/01/2025

Comment sortir du triangle dramatique de Karpman ?

Le triangle de Karpman, également connu sous le nom de triangle dramatique, est un modèle psychologique qui décrit les interactions toxiques et dysfonctionnelles entre les personnes. Il met en évidence trois rôles principaux qui sont souvent joués dans ces interactions qui tournent mal : la victime, le persécuteur et le sauveur.

La victime : La victime se sent impuissante et sans défense. Elle se perçoit comme étant incapable de faire face aux défis ou aux problèmes de sa vie. Elle peut chercher de l'attention et de la sympathie en se souvenant constamment et en se victimisant. Elle se sent souvent démunie et attend que les autres viennent à son secours.

Le persécuteur : Le persécuteur adopte un comportement autoritaire et critique envers la victime. Il cherche à imposer son pouvoir et à contrôler les autres. Il peut utiliser des critiques, des insultes, des accusations et des menaces pour maintenir la victime dans un état de faiblesse. Le persécuteur peut également chercher à éviter ses propres problèmes en s'en prenant aux autres.

Le sauveur : Le sauveur se positionne comme le héros qui va venir au secours de la victime. Il essaie de résoudre les problèmes de la victime et de la protection des persécuteurs. Le sauveur peut se sentir valorisé en prenant soin des autres, mais cela peut aussi être une façon de se sentir important et de se détourner de ses propres problèmes.


Il est important de noter que les personnes impliquées dans le triangle de Karpman peuvent alterner entre les différents rôles. La victime peut devenir le persécuteur en attaquant quelqu'un qui essaie de l'aider, et le sauveur peut se sentir persécuté lorsque ses efforts ne sont pas appréciés ou lorsque la victime ne s'améliore pas. Par exemple, l’un de vos collègues se plaint régulièrement de l’ambiance dans l’équipe, de son chef qui est trop directif ou de sa charge de travail qui ne cesse de s’alourdir (Victime). Pour l’aider, vous essayez de lui trouver des solutions et vous lui faites de nombreuses propositions (Sauveur). Mais votre collègue n’adhère à aucune d’entre elles et continue de se plaindre sans essayer de changer quelque chose à sa situation. A un moment, vous pouvez vous agacer de son inertie et lui dire de se débrouiller tout seul (Persécuteur).

Aider quelqu’un n’est pas, en soi, un problème. Le problème arrive quand la personne que vous essayez d’aider se retourne contre vous. Ou quand la personne qui semble vouloir vous aider se retourne contre vous. Et le problème s’amplifie si cela se répète au fil du temps. Dans la majorité des situations d’aide, le triangle dramatique de Karpman ne s’active pas. Vous avez un problème, vous demandez un conseil à quelqu’un qui vous le donne sans attendre de contrepartie ou que vous suiviez son conseil et la relation reste saine. Vous avez le droit de vous plaindre parfois de situations difficiles. Le problème est si, sans vous en rendre compte, vous le faites tout le temps et que votre entourage s’éloigne par impuissance ou agacement.


Pour sortir du triangle de Karpman et mettre fin aux schémas de comportement toxiques, il est essentiel de prendre conscience des rôles que chacun joue dans la dynamique. Voici quelques conseils pour y parvenir…

1. Identifier qu’il y a un jeu

Il s’agit d’apprendre à identifier les jeux que l’on pratique régulièrement, et par conséquent ceux dans lesquels on a le plus de chance de se retrouver ! Pour repérer ses propres tendances, on peut se poser 5 questions :

Dans quel genre de situation conflictuelle ai-je tendance à me retrouver régulièrement ? Comment cela commence-t-il ? Quelle attitude ai-je ? Quels propos ai-je le plus souvent? Quels propos a l’autre ? Quel est l’« hameçon » auquel je mords ? Est-ce la plainte de l’autre, la demande qui me fend le cœur ou au contraire les pics ? Comment ai-je tendance à me comporter et à répondre ? Est-ce que j’essaie de « sauver » l’autre en lui trouvant des solutions ou bien est-ce que je l’agresse ? Est-ce que je réagis en victime ? Comment cela termine-t-il habituellement ? Est-ce que je claque la porte ? Est-ce que j’explose en larmes ?
Quelle est mon émotion à la fin de la situation ? Qu’est-ce que je me dis ? Par exemple « C’est toujours sur moi que ça tombe », « Personne ne me comprend », « J’en ai assez qu’il se plaigne »…
Les réponses à ces questions vous aident à repérer quel rôle vous jouez le plus souvent dans le triangle dramatique et dans quels types de situations.

2. Ne pas entrer dans le jeu en ne prenant pas le rôle attendu par l’autre

S’extraire physiquement ou verbalement de la situation, répondre de façon totalement inattendue, orienter la personne vers quelqu’un d’autre (avec qui elle ne « jouera » peut-être pas).

Par exemple, votre conjoint vous dit : « J’en ai marre de mon chef. Il m’a encore retenu au moment de partir. C’est à cause de lui que je rentre t**d. » (Victime). Vous répondez habituellement : « Tu n’as qu’à refuser de rester comme le font tes autres collègues, qui eux rentrent plus tôt chez eux.» (Persécuteur). Le risque est que cela dégénère en dispute.

Si vous êtes conscient de votre rôle habituel, vous pouvez tenter une réponse plus neutre : « Je comprends mais c’est comme ça, c’est la vie. Je t’ai laissé à manger dans le micro-ondes » et bouger dans une autre pièce à court terme. En ne prenant aucune position du triangle dramatique, l’évolution du processus relationnel est interrompue.

3. Dévoiler le jeu

Une très bonne façon de ne pas jouer, dès qu’il y a quelque chose que vous ne sentez pas / qui n’est pas clair pour vous dans la relation avec votre interlocuteur, est de lui poser la question suivante : « Quelle est ton intention en me disant cela ? ».

Le plus souvent les personnes ne sont pas conscientes de l’impact de leurs propos sur vous ; en posant cette question vous permettez à l’autre de prendre un temps de recul et de réaliser, soit que son intention est négative, soit qu’elle est en train de faire preuve de maladresse à votre égard.

4. Si vous avez tendance à agir en Sauveur

La trousse du sauveteur (de Claude Steiner) peut vous aider.

Pensez à une situation où vous envisagez d’aider quelqu’un, et demandez-vous…

Est-ce que l’autre m’a fait une demande ou pas ?
Est-ce que c’est de ma responsabilité ? Le service que j’envisage de rendre, ce que je m’apprête à faire, le fait de résoudre la situation ?
Suis-je compétent, ai-je les capacités pour le faire ?
Ai-je envie de le faire ?
Est-ce que l’autre fait sa part du chemin ? Ou bien est-ce que je m’apprête à prendre en charge tout seul le problème de l’autre ?

Si vous obtenez 5 oui, vous pouvez avancer. Mais si vous obtenez 2 non ou plus, prudence… Si vous choisissez quand même d’y aller, vous risquez à terme de le regretter.

En conclusion, il existe de nombreuses options pour éviter les jeux psychologiques, mais il s’agit avant tout d’un vrai travail sur soi, seul ou accompagné…

Si vous souhaitez consulter à ce sujet, et déjouer vos propres mécaniques pour une vie plus aligné et plus saine n'hésitez pas à prendre rendez-vous.

- Consultations à Tamarin ou en Visio du Jeudi au Samedi -

Une page blanche…Une surface où projeter librement nos envies, où l’imagination s’épanouit pour écrire de nouveaux rêves...
02/01/2025

Une page blanche…

Une surface où projeter librement nos envies, où l’imagination s’épanouit pour écrire de nouveaux rêves, rêver de nouveaux projets.

Un nouveau chapitre, une nouvelle aventure à vibrer.

Bien sûr, il y a quelque chose d’illusoire à voir le début d’une année comme une renaissance. Au fond, ce n’est qu’un jour parmi d’autres, un passage déconnecté des cycles naturels. Ce jour n’est un début que par convention, une coutume qui s’est installée.

Mais si on s’autorise à le voir autrement ? Si on choisit de le vivre comme un rituel ?

Ce n’est pas la réalité concrète d’un rituel qui le rend réel et potentiellement puissant. C’est l’engagement qu’on y met, l’intention qu’on y pose. Le fait d’y croire pour le dire autrement. Un rituel devient magique parce qu’on lui donne la possibilité de l’être. On joue à un rituel comme un enfant joue un personnage, comme un comédien incarne un rôle. Mais l’être humain est capable parfois de ce tour de passe passe avec lui-même, de jouer jusqu’à y croire, jusqu’à vivre son jeu et le rendre réel. Le bon comédien ne joue plus, les choses lui arrivent vraiment, sincèrement.

C’est l’art du placebo, du faux qui crée du vrai, de l’intangible qui génère du tangible.

Alors, pour ce passage vers 2025, je vous souhaite un beau rituel. Je vous souhaite un moment pour rêver vos envies, imaginer vos projets et les faire éclore dans la réalité. D’y croire jusqu’à ce que ça advienne. De façonner et de sculpter votre réel avec passion.

Belle et lumineuse année 2025 à vous.

Kevin Finel ✍️✨

Vous voulez booster votre mémoire ? 🐘Les mnémoniques sont des outils mnémotechniques qui vous permettent de transformer ...
04/12/2024

Vous voulez booster votre mémoire ? 🐘

Les mnémoniques sont des outils mnémotechniques qui vous permettent de transformer des informations abstraites en images ou en histoires plus faciles à retenir. C’est comme créer un raccourci mental pour accéder à une information. 🎯

Address

Le Mana Center
Rivière Noire

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Nicolas · Coaching & Hypnose Intégrative posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Share

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram