
20/08/2019
"Nous sommes tous des Calimeros lorsque des évènements de notre vie sont difficiles à vivre, nous font ressentir de la souffrance, de l’incompréhension ou de l’injustice. Lorsqu’elle est ponctuelle, la plainte est positive car elle permet d’attirer l’attention. C’est un moyen de faire évoluer la situation lorsque l’on rencontre un problème au travail, dans une relation, dans la famille… Mais il existe des personnes qui s’apitoient sur leur sort de manière répétitive. On devient un « Calimero » lorsqu’on fait de la plainte, de l’apitoiement, un schéma relationnel, une manière d’être en relation."
Avec eux, toutes les petites contrariétés du quotidien deviennent un prétexte pour se plaindre, se lamenter. Les « Calimeros », appelés ainsi en référence au petit poussin ronchon avec sa coquille sur la tête, ont une fâcheuse tendance à nous agacer. Pourtant, derrière leurs jérémiades...