11/11/2025
ArrĂȘtez de dire quâil faut pardonner âparce que câest la famille.â
Ce conseil, bien quâanimĂ© de bonnes intentions, est souvent nocif.
Et il est temps de le remettre en question, avec des émotions brutes et toute la vérité.
Parce quâau fond, la famille aurait dĂ» mieux faire.
La famille aurait dû me protéger, pas me blesser.
Elle aurait dĂ» ĂȘtre de mon cĂŽtĂ©, pas me trahir.
Elle aurait dĂ» ĂȘtre mon refuge, pas la source de mon traumatisme le plus profond.
Et le fait de partager le mĂȘme sang ne signifie pas que je leur dois lâaccĂšs Ă ma paix, Ă mes enfants, ou Ă la vie que jâai reconstruite avec tant dâefforts.
Le pardon nâest pas quelque chose que lâon peut forcer, surtout quand les excuses nĂ©cessaires ne sont jamais arrivĂ©es.
Surtout quand les comportements blessants nâont pas changĂ©.
Surtout quand la douleur est toujours lĂ , comme une plaie ouverte dans lâĂąme.
Jâai pleinement le droit de protĂ©ger ma paix, mĂȘme si cela signifie la protĂ©ger de ceux qui portent mon nom de famille.
Et si cela te dĂ©range, si mes limites te gĂȘnent, alors peut-ĂȘtre fais-tu partie du problĂšme.
De ce discours qui perpétue la blessure et étouffe la douleur.
Parce que la famille, ce nâest pas seulement ceux qui portent le mĂȘme nom, câest aussi ceux qui sont vraiment prĂ©sents, ceux qui te respectent sincĂšrement,
ceux qui te traitent bien, sans conditions.
Ceci est mon émotion sans filtre.
Et voici ma vérité inébranlable.
Auteur inconnu
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