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Conseils médicaux, Lomé (2025)

20/01/2025

L'oxyurose (ou entérobiose) est une infection parasitaire causée par Enterobius vermicularis, plus communément appelé oxyure. Cette infection est fréquente chez les enfants et se propage facilement au sein des foyers, des écoles et des garderies.

Symptômes :

Démangeaisons autour de l'anus, particulièrement la nuit

Agitation et difficulté à dormir

Irritabilité

Parfois, douleurs abdominales

Diagnostic :

Le test du scotch est souvent utilisé : on applique un ruban adhésif sur la peau autour de l'anus le matin pour collecter les œufs et les examiner au microscope.

Traitement :

Des médicaments antiparasitaires sont généralement prescrits.

Tous les membres du foyer peuvent être traités en même temps pour éviter la réinfection.

L'hygiène est essentielle : lavage régulier des mains, nettoyage des draps et des vêtements.

Souhaitez-vous plus d'informations sur le traitement ou la prévention de l'oxyurose ? Contacter nous.

05/01/2025

L'intestin irritable, également connu sous le nom de syndrome de l'intestin irritable (SII), est un trouble fonctionnel du tube digestif qui affecte principalement le côlon. Il se caractérise par une combinaison de symptômes chroniques ou récurrents, notamment :

Douleurs ou crampes abdominales

Ballonnements

Diarrhée, constipation ou alternance des deux

Sensation de vidange incomplète après les selles

Mucus dans les selles

Le SII est un trouble fonctionnel, ce qui signifie qu'il n'y a pas de lésion identifiable dans l'intestin, mais que son fonctionnement est perturbé. Les causes exactes du SII ne sont pas complètement comprises, mais des facteurs comme le stress, l'alimentation, les infections intestinales et les changements dans la motilité intestinale peuvent jouer un rôle.

Le traitement du SII varie en fonction des symptômes et peut inclure des changements alimentaires (comme une alimentation pauvre en FODMAPs), des médicaments pour soulager les douleurs et réguler le transit intestinal, ainsi que des techniques de gestion du stress.

Souhaites-tu des conseils spécifiques ou des informations supplémentaires sur un aspect particulier du SII ?

26/12/2024

Alcaliniser son organisme consiste à favoriser un équilibre acido-basique optimal, qui peut contribuer à une meilleure santé globale. Voici quelques conseils pratiques :

1. Adopter une alimentation alcalinisante

Fruits et légumes frais : Privilégiez des aliments riches en minéraux alcalins comme les épinards, les avocats, le chou kale, les concombres, les citrons, les bananes, et les melons.

Oléagineux : Les amandes et les graines de chia sont légèrement alcalinisantes.

Eau citronnée : Bien que le citron soit acide, il a un effet alcalinisant après digestion.

Réduire les aliments acidifiants : Limitez la viande rouge, les produits laitiers, les aliments transformés, le sucre raffiné, et l'alcool.

2. Bien s'hydrater

Buvez suffisamment d’eau chaque jour. L'eau minérale riche en bicarbonates peut aider à alcaliniser.

Évitez les boissons sucrées et gazeuses, qui sont acidifiantes.

3. Intégrer des suppléments naturels

Bicarbonate de soude : Une demi-cuillère à café dans un verre d'eau, consommée occasionnellement, peut neutraliser l'acidité.

Compléments riches en chlorophylle : Comme la spiruline, la chlorelle ou l’herbe de blé.

4. Gérer le stress

Le stress peut augmenter la production d'acides dans le corps. Essayez des techniques comme la méditation, le yoga, ou la respiration profonde.

5. Bouger régulièrement

L'exercice modéré aide le corps à éliminer les toxines acidifiantes par la transpiration et favorise l'équilibre acido-basique.

6. Réduire les toxines

Évitez les polluants environnementaux, les pesticides et les produits chimiques dans les produits de soin.

7. Vérifier le pH

Utilisez des bandelettes de pH pour vérifier l'acidité de vos urines (idéalement entre 6,5 et 7,5) afin d'ajuster vos habitudes si nécessaire.

Un mode de vie équilibré est la clé pour maintenir un organisme en bonne santé et alcalin. Si vous avez des problèmes de santé spécifiques, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.

21/12/2024

L’hépatite B est une infection virale causée par le virus de l’hépatite B (VHB), qui affecte principalement le foie. Elle peut être aiguë (de courte durée) ou chronique (durée supérieure à 6 mois). Cette maladie est préoccupante car elle peut entraîner des complications graves, comme la cirrhose, le cancer du foie ou l’insuffisance hépatique.

Transmission

Le virus de l’hépatite B se transmet par :

Contact avec le sang ou d'autres fluides corporels infectés.

Relations sexuelles non protégées.

Partage de seringues ou d’aiguilles contaminées.

Transmission de la mère à l’enfant lors de l’accouchement.

Symptômes

Dans de nombreux cas, l’hépatite B est asymptomatique. Cependant, lorsqu’ils sont présents, les symptômes peuvent inclure :

Fatigue.

Jaunisse (peau et yeux jaunes).

Douleurs abdominales.

Nausées et vomissements.

Fièvre.

Urines foncées et selles pâles.

Diagnostic

Le diagnostic est basé sur des a**lyses de sang pour détecter :

L'antigène HBs (indicateur d’infection active).

Les anticorps anti-HBc et anti-HBs (témoignant d’une infection passée ou d’une immunité).

Traitement

Hépatite aiguë : Aucun traitement spécifique, le repos et une bonne hydratation suffisent souvent.

Hépatite chronique : Des antiviraux (ex. entécavir, ténofovir) peuvent être prescrits pour réduire la charge virale et limiter les complications.

Prévention

Vaccination : Le vaccin contre l’hépatite B est très efficace et fait partie des calendriers vaccinaux dans de nombreux pays.

Pratiques sûres : Éviter les comportements à risque (partage de matériel d’injection, rapports non protégés).

Protection périnatale : Vaccination des nouveau-nés nés de mères infectées.

Si vous avez des inquiétudes ou si vous pensez avoir été exposé au virus, il est important de consulter un professionnel de santé.

17/12/2024

Les condylomes vénériens, également appelés verrues génitales, sont des lésions causées par certaines souches du papillomavirus humain (HPV), principalement les types 6 et 11. Elles se manifestent principalement au niveau des organes génitaux, de l'anus ou de la région périnéale.

Symptômes :

Verrues molles, indolores et de couleur chair ou légèrement rosée.

Elles peuvent être isolées ou se regrouper en forme de chou-fleur.

Démangeaisons ou irritation locale occasionnelle.

Elles peuvent parfois saigner lors de rapports sexuels ou de frottements.

Modes de transmission :

Principalement par contact sexuel (vaginal, a**l ou oral) avec une personne infectée.

Transmission plus rare par contact peau à peau dans la région génitale.

Le HPV peut rester latent pendant des mois ou des années avant l'apparition des lésions.

Facteurs de risque :

Rapports sexuels non protégés avec plusieurs partenaires.

Système immunitaire affaibli (par exemple, VIH).

Tabagisme et mauvaise hygiène.

Diagnostic :

Souvent clinique, par l'observation des lésions.

Une biopsie peut être effectuée en cas de doute diagnostique.

Dépistage des autres infections sexuellement transmissibles (IST) recommandé.

Prévention :

Vaccination contre le HPV (vaccin Gardasil ou Cervarix), particulièrement chez les jeunes avant le début de leur vie sexuelle.

Utilisation du préservatif réduit le risque, sans l'éliminer totalement.

Dépistage régulier des IST chez les personnes à risque.

Si vous pensez avoir des condylomes vénériens, il est recommandé de consulter un médecin pour un diagnostic précis et un traitement adapté.

13/12/2024

L'alcool a des effets variés sur la santé, qui dépendent de la quantité consommée, de la fréquence et des caractéristiques individuelles de la personne. Voici un aperçu des principaux impacts :

Effets à court terme

1. Effets sur le système nerveux central :

Diminution des réflexes et de la coordination.

Troubles de la mémoire et de la concentration.

Risques d'accidents liés à une perte de jugement.

2. Risques immédiats :

Intoxication aiguë (ivresse), pouvant entraîner des nausées, des vomissements ou des pertes de conscience.

Risque de coma éthylique, potentiellement mortel.

Effets à long terme

1. Effets sur les organes :

Foie : L'alcool est une cause majeure de maladies du foie, comme la stéatose hépatique (foie gras), l'hépatite alcoolique et la cirrhose.

Cœur et système cardiovasculaire : Augmentation du risque d'hypertension, d'insuffisance cardiaque et d'accident vasculaire cérébral.

Cerveau : Troubles cognitifs, perte de mémoire, et risque de démence.

2. Risque de cancers :
L'alcool est un facteur de risque pour plusieurs cancers : bouche, gorge, œsophage, foie, sein et colon.

3. Santé mentale :

Augmentation du risque de dépression, d'anxiété et de troubles psychotiques.

Développement d'une dépendance à l'alcool, avec des répercussions sur la vie sociale et professionnelle.

4. Système immunitaire :
Une consommation excessive affaiblit les défenses immunitaires, augmentant le risque d'infections.

Une consommation excessive ou régulière peut entraîner des conséquences graves. Il est conseillé de consulter un professionnel de santé si vous ressentez des difficultés à réduire votre consommation.

09/12/2024

Exposé sur l'acné

L'acné est une affection dermatologique fréquente qui touche principalement les adolescents, mais peut également affecter les adultes. Elle se manifeste par des lésions cutanées telles que des points noirs, des boutons ou des kystes, principalement sur le visage, le dos et le torse.

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Introduction

L'acné est bien plus qu'une simple condition esthétique. Elle peut affecter la confiance en soi et, dans les cas graves, entraîner des cicatrices permanentes. Cet exposé abordera les causes, les symptômes, les traitements et les moyens de prévention de l'acné.

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I. Les causes de l'acné

1. Facteurs internes :

Surproduction de sébum : Les glandes sébacées produisent une quantité excessive d'huile.

Obstruction des follicules : Mélange de cellules mortes et de sébum qui bloque les pores.

Bactéries : La prolifération de Propionibacterium acnes provoque une inflammation.

Changements hormonaux : Puberté, grossesse, menstruation ou prise de certains médicaments.

2. Facteurs externes :

Utilisation de produits cosmétiques gras ou inadaptés.

Pollution et exposition prolongée au soleil sans protection.

Stress et alimentation déséquilibrée.

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II. Les types de lésions d'acné

1. Lésions non inflammatoires :

Points noirs : Pores obstrués ouverts à l'air.

Points blancs : Pores obstrués sous la surface de la peau.

2. Lésions inflammatoires :

Papules et pustules : Boutons rouges et parfois remplis de pus.

Nodules et kystes : Lésions profondes et douloureuses pouvant laisser des cicatrices.

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III. Traitements de l'acné

1. Soins de base :

Nettoyer la peau avec un produit doux deux fois par jour.

Éviter de toucher ou de percer les boutons.

2. Traitements locaux :

Crèmes ou gels à base de peroxyde de benzoyle, d'acide salicylique ou de rétinoïdes.

Antibiotiques en cas d'infections bactériennes.

3. Traitements systémiques :

Antibiotiques oraux pour réduire l'inflammation.

Isotrétinoïne pour les cas sévères (sous surveillance médicale).

Contraceptifs hormonaux pour réguler les déséquilibres hormonaux chez les femmes.

4. Thérapies complémentaires :

Peelings chimiques.

Laser ou thérapie par lumière.

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IV. Prévention de l'acné

Utiliser des produits non comédogènes.

Éviter les aliments riches en sucres raffinés et en graisses saturées.

Gérer le stress par des exercices ou la méditation.

Protéger la peau contre le soleil avec des écrans solaires adaptés.

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Conclusion

L'acné est une condition courante mais complexe, influencée par des facteurs internes et externes. Bien qu'elle puisse être gênante, elle peut être traitée efficacement avec une routine adaptée et des traitements spécifiques. Une consultation dermatologique est recommandée pour les cas modérés à sévères.

Souhaitez-vous des détails supplémentaires ou des conseils spécifiques pour un point de cet exposé ?

05/12/2024

L’effet de la chaleur sur la santé peut être significatif, en particulier lors de vagues de chaleur ou d'expositions prolongées à des températures élevées. Voici les principaux impacts et les groupes les plus vulnérables :

Effets directs de la chaleur sur la santé

1. Coup de chaleur

Survient lorsque le corps n’arrive plus à réguler sa température, dépassant souvent 40 °C.

Symptômes : confusion, peau chaude et sèche, maux de tête, perte de conscience.

C’est une urgence médicale qui peut être fatale sans traitement rapide.

2. Déshydratation

Causée par une perte excessive de liquides par transpiration.

Symptômes : soif intense, fatigue, urine foncée, étourdissements.

3. Epuisement dû à la chaleur

Survient après une exposition prolongée.

Symptômes : faiblesse, nausées, crampes musculaires, transpiration excessive.

4. Crampes de chaleur

Résultent d’un déséquilibre électrolytique.

Symptômes : douleurs musculaires, surtout après une activité physique intense.

5. Aggravation de maladies chroniques

Les maladies cardiovasculaires, respiratoires et rénales peuvent s’aggraver en période de chaleur.

Populations vulnérables

Personnes âgées : leur capacité à réguler la température est réduite.

Nourrissons et jeunes enfants : ils dépendent des adultes pour rester hydratés et au frais.

Personnes atteintes de maladies chroniques : elles ont souvent une tolérance réduite à la chaleur.

Travailleurs en extérieur : soumis à un stress thermique accru.

Sans-abris : exposés directement aux conditions extérieures.

Conséquences indirectes

Troubles du sommeil : la chaleur excessive peut perturber le sommeil, entraînant fatigue et irritabilité.

Stress mental : la chaleur intense peut augmenter le risque d’anxiété et de dépression.

Augmentation des maladies infectieuses : favorisée par la prolifération de moustiques et autres vecteurs en climat chaud.

Mesures préventives

1. Hydratation : boire de l’eau régulièrement, même sans soif.

2. Refroidissement : rester dans des lieux frais ou climatisés.

3. Habits légers : porter des vêtements légers, amples et clairs.

4. Réduction de l’activité physique : éviter les efforts intenses aux heures les plus chaudes.

5. Surveillance des plus vulnérables : vérifier régulièrement les enfants, personnes âgées ou isolées.

En conclusion, la chaleur peut avoir des impacts graves sur la santé, mais des mesures simples et préventives peuvent réduire les risques.

04/12/2024

Pourquoi éviter de boire de l’eau trop froide ?
Pourquoi faut-il éviter de boire de l’eau trop froide?
En période de température estivale, il est bon pour la santé de s’hydrater correctement. Une habitude ancrée dans notre culture consiste à boire de l’eau glacée. Quels en sont exactement les effets sur notre organisme ? Boire de l’eau trop froide est-t-il bon ou mauvais pour notre corps ?

Est-ce bon pour l’organisme de boire de l’eau froide ?
Certains médecins conseillent une hydratation à l’eau glacée après une séance de sport ou en période de canicule. Cependant, le corps médical déconseille la consommation d’une eau trop froide. L'eau des fontaines dans les salles de sport ne doit donc pas être trop réfrigérée.

Quand boire de l’eau froide ?
Des études ont été menées sur un petit nombre de cas. Elles ont démontrées qu’une eau à 5°C était plus efficace pour faire baisser la température du corps, suite à un effort physique intense.

L’effet de l’eau glacée sur la santé ?
La science indique qu’il faut bien s’hydrater, surtout en période de fortes chaleurs. Elle met toutefois en garde contre les effets de l'ingestion d'un liquide glacé dont voici les effets indésirables :

Freinage de la digestion : bue pendant le repas, elle diminue la température des aliments. L’absorption des nutriments est ralentie par un processus de solidification des graisses ;
Boire une boisson glacée fait mal aux dents : ces maux sont causés par une température froide qui stimule le nerf se situant à la jonction des dents et de la gencive ;
Perturbe le rythme cardiaque : l’agression par le froid que subit le nerf sympathique (aussi appelé nerf vague) a pour effet de perturber la fréquence cardiaque. Cela peut entraîner palpitations et malaise ;
Favorise l’apparition de mucus : une eau très froide fait réagir le corps. Les capillaires de la gorge rétrécissent, le nez se remplit, produisant un fluide chaud pour lutter contre l’effet refroidissant. Il y a alors un risque d’infection ORL ;
Provoque des troubles intestinaux : boire une boisson glacée en dehors des repas peut provoquer diarrhées et douleurs. L’eau n’ayant pas le temps de se réchauffer dans l’estomac avant d’atteindre l’intestin grêle ;
Gêne l’action de certains médicaments : en freinant la digestion, la consommation d’une eau glacée peut entraver la bonne assimilation des médicaments par le corps ;
Provoque une céphalée du froid : consommer un verre d’eau trop froide abaisse brutalement la température buccale. La bouche étant très vascularisée, il se crée un phénomène de refroidissement du sang mené au cerveau par l’artère cérébrale ;
Création de problèmes sanguins : en épaississant le sang, celui-ci circule moins facilement dans le réseau artériel.
Pourquoi boire de l’eau glacée à chaque repas fait-il grossir ?
Pendant le repas, elle fige les cellules adipeuses contenues dans les aliments que l’estomac stocke au cours de la digestion. À l’inverse, une boisson chaude prise après le repas favorise leur dissolution et une meilleure absorption des nutriments.

Consommer une boisson glacée quand il fait chaud ?
Quand le mercure grimpe, une bonne hydratation est essentielle. Une des habitudes est de se diriger vers l’absorption de boissons froides. C’est en fait un geste nuisible pour la santé. En cas de canicule, la consommation d’eau glacée fait chuter la température du corps.

Pensant devoir réguler sa température, celui-ci dépense de l’énergie pour créer de la chaleur, provoquant l’inverse de l’effet recherché.

Les maladies que l’eau glacée peut causer
Quels sont les réels dangers des boissons très fraîches sur la santé ?

Voici un état des lieux de ce qu’en dit la science :

Problèmes cardiaques : le refroidissement du nerf sympathique agit comme un stimulus qui ralentit les pulsations cardiaques ;
Grippe : les mucosités qui encombrent le nez et la gorge peuvent mener à un affaiblissement des défenses immunitaires, augmentant les risques de maladie rhino-pharyngés ;
Constipation chronique : les aliments n’étant pas absorbés correctement lors de leur passage dans l’estomac, ils créent un amas de matières dans le tube intestinal. Ne disposant pas de l’énergie nécessaire à un bon transit, le côlon devient paresseux.
Vous cherchez une solution de distribution d'eau efficace pour consommer de l'eau réfrigérée sans risque pour la santé ? Faites installer une fontaine à eau fraîche par des professionnels !

02/12/2024

Les Moyens de Lutte contre le VIH

Le VIH (virus de l'immunodéficience humaine) est un virus qui attaque le système immunitaire et peut entraîner le SIDA (syndrome d'immunodéficience acquise). Bien qu’il n’existe pas encore de remède définitif, de nombreux moyens permettent de prévenir et de lutter efficacement contre sa propagation.

1. La Prévention

La prévention est le premier pilier dans la lutte contre le VIH. Elle repose sur plusieurs actions :

Utilisation de préservatifs : C’est l’un des moyens les plus efficaces pour réduire la transmission du VIH lors des rapports sexuels.

Dépistage régulier : Connaître son statut sérologique est essentiel pour prévenir la transmission et garantir un traitement précoce.

Éducation et sensibilisation : Informer la population sur les modes de transmission (rapports non protégés, partage d’aiguilles, transmission de la mère à l’enfant) et les moyens de protection.

Pratiques médicales sûres : Utilisation d’aiguilles et de seringues stériles, et respect des précautions dans les soins de santé.

2. Traitement et Prise en Charge

Traitement antirétroviral (ARV) : Ces médicaments permettent de réduire la charge virale dans le corps, rendant le virus indétectable et non transmissible.

Prophylaxie pré-exposition (PrEP) : Ce traitement préventif est destiné aux personnes à haut risque d’infection.

Prophylaxie post-exposition (PEP) : Il s’agit d’un traitement d’urgence administré dans les 72 heures suivant une exposition possible au VIH.

Suivi médical : Les personnes vivant avec le VIH doivent bénéficier d’un suivi régulier pour évaluer l’efficacité du traitement et surveiller leur état de santé.

3. Lutte contre la stigmatisation

La peur et les préjugés associés au VIH/SIDA freinent souvent la prévention et le traitement. Il est essentiel de :

Promouvoir l'inclusion sociale et le respect des droits des personnes vivant avec le VIH.

Lutter contre les discriminations dans les domaines du travail, de la santé et de la vie quotidienne.

4. Coopération internationale et recherche

Programmes de santé publique : Les gouvernements et les organisations internationales collaborent pour financer des campagnes de prévention et fournir des traitements accessibles.

Recherche scientifique : Les progrès dans les vaccins et les traitements curatifs restent une priorité mondiale.

Conclusion

La lutte contre le VIH repose sur la prévention, l’accès au dépistage, la prise en charge médicale et l’éducation. En combinant ces efforts, il est possible de réduire considérablement les nouvelles infections et d'améliorer la qualité de vie des personnes touchées par le virus. La solidarité et l'engagement de tous sont essentiels pour parvenir à une génération sans VIH.

01/12/2024

L’harmattan, un vent sec et poussiéreux fréquent dans certaines régions d’Afrique, peut avoir des impacts significatifs sur la santé. Voici quelques conseils pour préserver votre bien-être pendant cette période :

1. Protégez vos voies respiratoires

Portez un masque ou un foulard pour filtrer les particules de poussière.

Évitez de sortir lors des vents les plus intenses, surtout si vous êtes sensible aux allergies ou souffrez d’asthme.

2. Hydratez-vous abondamment

La sécheresse provoquée par l’harmattan peut déshydrater rapidement. Buvez beaucoup d’eau pour compenser.

Utilisez des baumes hydratants pour les lèvres et des crèmes pour la peau pour éviter la sécheresse et les gerçures.

3. Soignez vos yeux

Portez des lunettes de protection pour éviter que la poussière n’irrite vos yeux.

Si vos yeux sont secs ou irrités, utilisez des gouttes hydratantes recommandées par un professionnel de santé.

4. Améliorez la qualité de l’air intérieur

Fermez les fenêtres et utilisez un purificateur d’air si possible pour limiter la poussière à l’intérieur.

Passez un chiffon humide pour nettoyer les surfaces afin d’éliminer les particules de poussière.

5. Prenez soin des personnes vulnérables

Les enfants, les personnes âgées et celles atteintes de maladies respiratoires ou cardiovasculaires sont plus vulnérables. Surveillez leur état et consultez un médecin si nécessaire.

6. Renforcez votre système immunitaire

Adoptez une alimentation riche en fruits et légumes pour apporter à votre corps les nutriments nécessaires.

Dormez suffisamment pour permettre à votre corps de récupérer.

En suivant ces recommandations, vous pourrez réduire les effets négatifs de l’harmattan sur votre santé. Si des symptômes comme une toux persistante, des douleurs thoraciques ou une irritation des yeux deviennent graves, consultez rapidement un professionnel de santé.

04/07/2024

Fibroids are solid lumps of muscle—some the size of a watermelon—that grow inside the uterine wall. They can dramatically affect a woman’s quality of life and fertility. Lasting treatments are scarce, and scientists still have so many questions about them, including why they develop and what makes them grow.

Learn about some recent advances, including a procedure that shrinks fibroids using radiofrequency energy, and certain lifestyle interventions that seem to minimize recurrence at https://on.natgeo.com/45P7WuI

Conseils médicaux

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