La fée des lumières

09/27/2025

Changeons de regards sur le monde qui nous entoure et nos pensées 🧚

09/03/2025

Pardonne à ta mère, pardonne à ton père. Peut-être qu’aujourd’hui, tu ne comprends pas leurs choix ou leurs mots, mais chaque blessure, chaque incompréhension t’a rendu plus fort. Ils t’ont appris à te relever, à partir lorsque l’amour ou le respect n’étaient plus là.

Pardonne à ton partenaire qui t’a brisé. Oui, cela a laissé des traces, mais cela t’a montré l’importance de poser des limites, de te choisir avant tout, et de rester fidèle à toi-même.

Pardonne à cette collègue jalouse qui parlait dans ton dos ou qui a rendu ton quotidien compliqué. Elle a perçu en toi une lumière qu’elle n’avait pas, une force qui l’intimidait. Et même dans tes moments les plus fragiles, tu as continué à briller, plus fort qu’elle ne le supportait.

Pardonne à tes enfants pour leurs erreurs, leurs insolences, ou même leur distance. Ils t’apprennent à lâcher prise, à accepter que tu ne peux pas tout contrôler. Ils t’enseignent à aimer sans attendre en retour.

Mais surtout, pardonne-toi. Pardonne-toi de ne pas être la personne parfaite que tu espérais être. Pardonne-toi pour tes faiblesses, tes peurs, tes erreurs. Sans elles, tu ne serais pas la personne incroyable que tu es aujourd’hui. Tu es bien plus fort(e) et admirable que tu ne le crois.

Ta vie n’est pas parfaite, mais elle est exactement comme elle doit être. Chaque épreuve, chaque étape, chaque sourire et chaque larme sont là pour t’aider à grandir et à devenir la meilleure version de toi-même.

Alors, relâche le poids du passé. Pardonne. Aime. Et avance, car tu mérites tout le bonheur que la vie a encore à t’offrir.

08/18/2025

Helen Mirren a dit un jour :
« Avant d’entrer dans une dispute avec quelqu’un, demandez-vous : cette personne est-elle assez mature, mentalement, pour comprendre la notion même de point de vue différent ? Car si ce n’est pas le cas, cela ne sert absolument à rien. »

Tous les débats ne méritent pas votre énergie. Parfois, peu importe la clarté avec laquelle vous vous exprimez, l’autre ne cherche pas à comprendre : il ne vous écoute pas pour saisir vos mots, mais pour réagir.

Certaines personnes restent enfermées dans leur propre perspective, incapables d’envisager un autre regard. Engager la discussion avec elles ne fait que vous épuiser.

Il existe une différence entre une conversation saine et un débat stérile. Un échange avec une personne ouverte d’esprit, qui valorise la compréhension et la croissance, peut être enrichissant — même si vous n’êtes pas d’accord. Mais tenter de raisonner quelqu’un qui refuse de voir au-delà de ses propres croyances ? C’est comme parler à un mur. Peu importe la logique ou la vérité que vous avancez, vos paroles seront détournées, rejetées ou méprisées. Non pas parce que vous avez tort, mais parce que l’autre ne veut tout simplement pas envisager une autre réalité.

La maturité n’est pas de « gagner » une dispute, mais de savoir quand un échange n’en vaut pas la peine. C’est comprendre que votre paix intérieure a plus de valeur que de prouver un point à quelqu’un qui, de toute façon, n’a pas l’intention de changer d’avis.

Toutes les batailles ne méritent pas d’être menées. Toutes les personnes ne méritent pas vos explications.

Parfois, la force réside dans le fait de s’éloigner. Non pas parce que vous n’avez rien à dire, mais parce que vous savez que certains ne sont pas prêts à écouter. Et cela, ce n’est pas votre fardeau à porter. ❤️

08/17/2025

08/15/2025

😍🥰💞aimez vous

07/19/2025

🇯🇵👴🏻🍀😲 Au Japon, les voitures conduites par des personnes âgées arborent un "avertissement de vie" : un trèfle coloré qui alerte tous les usagers de la route. Loin d’être un simple ornement, ce symbole appelé "marque Koreisha" est obligatoire pour les conducteurs âgés de 75 ans ou plus, et fortement recommandé dès 70 ans.

Il s’agit d’un emblème conçu non seulement pour signaler que la personne au volant est d’un âge avancé, mais aussi pour promouvoir une culture de respect, de patience et de sécurité routière. Depuis sa mise en place en 1997, ce signe a évolué dans sa forme et sa signification : il prend aujourd’hui l’apparence d’un trèfle à quatre feuilles, un message visuel d’espoir, de vulnérabilité et de sagesse.

Dans un pays où la population vieillit rapidement, cette mesure protège non seulement les conducteurs les plus expérimentés, mais transforme aussi la manière dont les autres usagers interagissent avec eux.

Et si le reste du monde s’inspirait de ce geste aussi simple que puissant ?
Peut-être que les routes deviendraient non seulement plus sûres… mais aussi plus humaines.

07/16/2025

Après la lecture de l’ouvrage,. Une mise en musique des 5 blessures plutôt réussie ..

🧚

07/16/2025

Nouveauté au cabinet !
Les lunettes PSIO associent luminotherapie et programmes audio, pour vous accompagner pour:
Un meilleur sommeil
Le stress
Les addictions ( sucre , cigarette ,alcool)
Le moral
Etc
Utilisées seules ou associées à un soin énergétique, elles sont un outils incroyable pour votre mieux être 🙂

N’hésitez pas à me contacter pour toutes questions ou rendez vous !
Bonne journée

La fée 🧚

07/06/2025

Oui nous sommes fait de nos forces et de nos faiblesses.. l’être humain n’est ni tout blanc ni tout noir ..
tout comme il n’y a pas de lumière sans nuit .. l’équilibre fait de nous des êtres beaux et complexes..

Dans le cirque étonnant de l'existence, on nous a longtemps vendu le spectacle du "OU". Tu es forte "ou' vulnérable, confiante "ou" pleine de doutes, bienveillante 'ou" ferme. Comme si la vie était une émission de télé-réalité où il fallait choisir son camp dès le générique.

Mais voilà qu’en coulisses, le "ET" fait une entrée fracassante.

Tu peux pleurer "et" être forte, oui, même avec du mascara qui fuit comme une fontaine artistique. Tu peux dire non avec un sourire de tendresse, demander de l’aide sans rendre ta cape de super-héroïne, et t’adapter sans te perdre dans le grand labyrinthe des attentes sociales.

Tu peux être cette constellation complexe : une femme qui doute en pleine confiance, qui ose avec le cœur battant, qui est elle-même même quand elle se transforme.

L'être humain n’a pas signé pour être un croquis en noir et blanc. Il est une aquarelle mouvante.

💡 Et si le vrai courage, c’était justement d’accepter d’être plurielle ? D’offrir au monde un "moi" qui ne choisit pas entre "la lumière" et "l’ombre", mais danse avec les deux.

Si quelqu’un te dit que tu es "contradictoire": hausse les épaules, bois ton café, et réponds calmement : "Je suis complexe, pas un menu à choix unique." MCh Cnd 🐞🌿

07/01/2025

L’histoire d’une femme exceptionnelle..

À une époque où accoucher était presque une condamnation à mort, elle a choisi de changer le destin de milliers de femmes avec une aiguille, du tissu et du savoir.
Angélique Marguerite Le Boursier du Coudray est née en France en 1712. Elle est une femme dans un siècle qui ne laisse pas de place aux femmes.
La médecine est l'apanage des hommes et l'accouchement est un événement dangereux, souvent laissé à l'improvisation ou à l'aide de personnes sans formation. Les mères mouraient. Les bébés mouraient. Et personne ne semblait s'en préoccuper.
Mais Angélique, sage-femme de grande expérience et d'une rare lucidité, ne reste pas sans rien faire.
En 1759, alors que la France est frappée par une mortalité maternelle et infantile dramatique, le roi Louis XV lui confie une mission officielle : parcourir le pays et enseigner aux femmes - surtout dans les campagnes - l'art de l'accouchement. C'est une mission sans précédent. Elle la prend comme une vocation.
Pendant plus de 25 ans, Angélique parcourt les villages et les villes, se déplace en calèche, souvent sur des routes défoncées, emportant avec elle une invention extraordinaire : un mannequin d'accouchement, fait d'étoffe, de cuir et de rembourrage, avec lequel elle simule différentes situations d'accouchement. Grâce à ce modèle, ses élèves peuvent enfin apprendre en pratique, sans mettre en danger la vie de vraies femmes.
Avec patience, rigueur et ténacité, Angélique a formé des milliers de sages-femmes. Chaque leçon est un acte de résistance. Chaque mannequin cousu main, une graine de salut. Chaque femme instruite, une vie peut-être épargnée.
En 1773, il rassemble toute son expérience dans un manuel clair et richement illustré :
Abrégé de l'Art des Accouchements.
Un ouvrage destiné non pas aux médecins des académies, mais aux femmes ordinaires, à celles qui étaient en première ligne, au milieu des cris, du sang et de la vie qui naissait.
Son travail a permis de réduire considérablement le taux de mortalité lors des accouchements dans de nombreuses régions de France. Pourtant, au fil du temps, sa figure est tombée dans l'oubli, mise à l'écart par une médecine qui continue d'écrire l'histoire des hommes.
Mais Angélique du Coudray est bien plus qu'un nom oublié :
, c'est une pionnière, une enseignante, une inventrice.
Une femme qui, dans un monde qui ignore la douleur des mères, a appris à accoucher dans la dignité.

06/22/2025

06/08/2025

Personne ne t’avait prévenu qu’un jour, tu sentirais le monde s’effondrer sur toi sans même t’en demander la permission.
Qu’ouvrir les yeux ferait plus mal que dormir,
et que respirer deviendrait un acte de rébellion.
On t’a jetée dans la tempête sans parapluie, sans carte, sans manteau.
Et toi, sans le savoir, tu as appris à ne pas te noyer sous la pluie qui tombe à l’intérieur.
À avaler tes larmes comme si elles faisaient partie du petit-déjeuner.
Tu as marché sur des éclats de verre, pieds nus, l’âme à vif,
et pourtant… il y a du feu dans tes pas.
Tu ne le remarques peut-être pas… mais tu tiens debout,
alors que tout ce qui te portait hier s’effondre.
Et cela, même si personne ne te le dit,
c’est une forme secrète d’éternité.
Admire ton chaos.
Car même en lambeaux, tu ne t’abandonnes pas.
Tu as bâti des châteaux avec les ruines de la veille…
Tu continues, encore et encore,
même si personne ne le voit, ne le croit,
parfois même pas toi.
Ne te blâme pas de ne pas savoir comment guérir.
Il est des blessures qui se referment en marchant,
pas en comprenant.
Ne lâche pas prise. Pas maintenant.
Car parfois, la sortie ne se trouve pas…
elle se construit.
Et toi, même sans plan, tu as déjà posé la première pierre.
Aie confiance…
En toi.
Écoute, et ne fais que ce qui t’apporte un peu de paix, un soupçon d’apaisement.
Prends soin de cette partie de toi,
celle qui, bien qu’en miettes,
ose encore aimer la vie.
Même si tu ne sais pas comment…
Aimer, c’est le chemin.
-Fernando D'sandi-