08/08/2023
En naturopathie, on a vraiment ce truc avec la nature que l'on mobilise au service de notre santé.
Marcher pieds nus sur la terre ferme pour se décharger, dans la rosée du matin pour se recharger, notre passion pour les ions négatifs, les cascades, la sylvotherapie, l'argile verte en cataplasme et en cure, les plantes que l'on mange et que l'on infuse, que l'on transforme... La mobilisation de l'énergie vitale dans les éléments de tout ce qui vit.
Une passion de la nature comme grande enseignante, où nos druides disaient déjà qu'il y a tout dans une circonférence de 30 km autour de notre lieu de vie pour nous guérir, où le soleil nous permet la synthèse de vitamines mais pas que, où l'eau de la montagne, des sources et de la mer, ont toutes une histoire à raconter.
L'observation de la nature et de l'homme malade, où la maladie s'apparente à une pause parfois éternelle, mais bien souvent faite de rebondissements, où la notion de mouvement à soi s'apparente a une mise au repose obligatoire du corps et de l'esprit, je parle du jeûne.
C'est dans le chemin de la nature, de notre propre nature contrariée mais vivante, vibrante, que l'on se retrouve, que l'on se reconnaît et que notre santé s'exprime, toujours.